Il circule dans les réseaux sociaux des propos diffamatoires, haineux et dénués de tout fondement à l’encontre du Directeur général Patrice Kitebi faisant état d’un soi-disant tribalisme et autre détournement des fonds du FPI. Ces allégations adressées à différentes autorités politico-administratives sont l’œuvre de certains nostalgiques qui cherchent à nuire à la réputation du DG Kitebi qui gère actuellement le FPI, établissement public, avec rigueur à la satisfaction de l’Etat propriétaire et de la grande majorité des congolais.
Il s’agit ici du dossier qui oppose monsieur Kitangala au FPI. Ce monsieur qui s’est passé pour un aviseur du FPI alors cet établissement n’a aucun lien contractuel avec lui, s’en est pris à la personne de monsieur Kitebi en illustrant par des allégations extrêmement graves, inacceptables et de nature à porter atteinte à l’honneur et la dignité du DG Kitebi et à ternir l’image de marque du FPI.
« Tissu de mensonges ! La bande à Kitangala peut-elle exhiber l’attestation d’aviseur lui délivrée par le FPI ? », réagit Me Mbwetshangol qui indique que son cabinet a trouvé le FPI réalisant à peine 2,5 millions USD par mois, alors qu’à son arrivée, le FPI en est autour d’au moins 10 millions USD par mois et ce contrat a été unilatéralement cassé par le FPI dans des conditions qui ont déplu au Cabinet qui n’a pas trouvé son compte ni touché 2 millions USD.
Une mise en demeure est adressée au FPI quant à ce. Déféré au Parquet Général de la Gombe, après examen, le dossier initié par la bande à Kitangala a été classé sans suite faute d’infraction. Le Cabinet ignore les transactions FPI/ Kitangala. Le Cabinet a signé un contrat en bonne et due forme avec le FPI.
Les ennemis du DG Kitebi doivent chercher un autre dossier s’il en existe mais en tout cas celui-ci est aussi transparent que l’eau de roche. Les faits de Kitangala ou ses contacts avec FPI dateraient de 2014 alors que le contrat avec le Cabinet est de mai 2017. « J’ai aussi porté plainte contre Kitangala pour imputations dommageables », déclare Me Mbwetshangol qui donne les péripéties suivantes dans cette affaire FPI – Kitangala :
En date du 02 mars 2019 dans sa lettre adressée à son Excellence Monsieur le Président de la République et dont copie était réservée à plusieurs autres personnes, monsieur Kitangala soutient de manière imaginaire que des sommes d’argent sont décaissées en collaboration avec le cabinet MBWESHANGOL
En date du 08 février presque les mêmes allégations adressées au Ministre de l’industrie avec ampliation à d’autres personnes. De même, en date du 20 février dans lettre au DG du FPI, il allègue contre monsieur Patrice Kitebi, Directeur général du FPI le tribalisme, népotisme, clientélisme, régionalisme, pillage et détournement du patrimoine du FPI.
Il sied de souligner que monsieur Kitangala avait en son temps saisi les juridictions judiciaires de la ville de Kinshasa qui l’ont toutes débouté pour absence de preuve aux allégations par lui proférées. La dernière décision judiciaire est celle du 06 mai 2019 contenue dans la lettre RI 1127/PG/2019/LUK du 15 avril 2019 par laquelle le Procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe avait classé sans suite le 1er avril 2019 la plainte de Kitangala contre le DG Kitebi et Me MBWESHANGOL, pour faits non établis.
Le DG Kitebi a saisi en date du 14 mai 2019 le Parquet général de Kinshasa/Matete pour propos calomnieux, diffamatoires, haineux et sans fondement visant à nuire à sa réputation et son honneur auprès des hautes autorités du pays et du public.
En date du 10 juin 2019 dans la cause enrôlée sous RMP 1149/PG.023 b/JMK, le Parquet Général avait placé monsieur Kitangala sous le lien du Mandat d’Arrêt Provisoire et en date du 13 juin 2019 le Tribunal de Paix de Kinshasa/Matete avait confirmé sa détention préventive à la maison d’arrêt annexée à la prison centrale de Makala pour dénonciation calomnieuse et diffamation prévue par les articles 74 et 76 du code pénal livre II.
En date du 1er juillet 2019 le PG de Kinshasa/Matete avait adressé, par sa lettre 3618/RMP.1149/PG.23b/JMK/2019, une requête aux fins de fixation d’audience avec pour prévention « avoir méchamment et publiquement imputé à autrui un fait précis qui est de nature à porter atteinte à son honneur ou à sa considération ou à l’exposer au mépris public ».
Sous le RP 33293 le président du Tripaix Matete avait fixé cette affaire répressive à l’audience du 17 juillet 2019 au cours de laquelle la partie prévenue avait sollicité une liberté provisoire.
En date du 23 juillet, par une ordonnance, le Tribunal de céans maintient le prévenu en détention préventive au motif qu’il existe dans son chef des indices sérieux de culpabilité et qu’il a été appréhendé par avis de recherche, sa fuite est à craindre et sa mise en liberté provisoire risque d’entraver le cours de l’instruction.
Une autre date d’audience avait été fixée au mercredi 07 août 2019 au cours de laquelle la partie prévenue avait sollicité du tribunal de céans une remise à 3 semaines. La prochaine audience est fixée au mercredi 28 août 2019
Au demeurant, ressortissant de l’ex-province du Bandundu, Patrice Kitebi l’est. Mais de là aller jusqu’à le traiter de tribaliste c’est mal connaître l’homme. En effet, homme aux relations faciles, dignes et citoyennes, monsieur Patrice Kitebi s’est entouré des collaborateurs dont les plus proches ne sont pourtant pas ressortissants de la même province que lui mais avec lesquels il partage sa passion professionnelle et sa rigueur dans la gestion.
La loi congolaise ne laisse pas impunis les actes de diffamation et dénonciations calomnieuses et cela contre toute personne qui en serait auteur.
Conseils FPI