Contentieux électoraux : Déterminée de ravir le siège à Christelle Vuanga, Henriette Wamu sillonne les couloirs de la Cour constitutionnelle avec un pactole !

La députée nationale réélue de la Funa, Christelle Vuanga, n’aura le cœur net qu’après le 23 mars prochain, date limite à laquelle la Cour constitutionnelle aura rendu tous ses arrêts des contentieux électoraux liés aux législatives nationales. Non sans raison, car attaquée devant cette haute juridiction par la candidate malheureuse à ce scrutin, Henriette Wamu (Lire l’article de Scooprdc.net : Contentieux électoraux : Henriette Wamu en veut au siège de Christelle Vuanga !).

En effet, bien que lors de l’audience le ministère public ait demandé à la Cour de déclarer la requête d’Henriette Wamu recevable mais non fondée et que la CENI ait aussi demandé à la Cour de maintenir et confirmer sa décision proclamant les résultats provisoires, Henriette Wamu ne désarme pas.

Selon les sources de Scooprdc.net, son ombre est toujours dans les couloirs de la Cour constitutionnelle cherchant par tous les moyens à ravir le siège à Christelle Vuanga qu’elle estime le maillon faible des proclamés élus. Pour ce faire, elle aurait mis un gros paquet de billets verts à la dispositions de ses envoyés pour soudoyer les juges de cette haute cour. Le plus visé est le président Dieudonné Kamuleta.

Mais connaissant ce dernier, qui est pasteur de son état et prêche la justice aux fidèles de son église, beaucoup d’observateurs qui ont vu Henriette Wamu toujours gagner à la Cour et non sur le terrain, ne lui accordent pas assez de chance cette fois-ci, la Cour de Dieudonné Kamuleta n’étant plus des Kamikazes comme Jean Ubulu, Noël Kilomba et Funga Molima que l’on a connus par le passé sous Benoit Lwamba.

D’ailleurs, lors de l’audience de vendredi 16 février dernier, le président de la Cour constitutionnelle a déclaré aux requérants que « l’élection ne se gagne pas à la Cour, mais sur le terrain ». Une façon de leur dire qu’il ne faut pas apporter à la Cour des insinuations et des fabulations mais plutôt des preuves tangibles des résultats qui contredisent ceux de la CENI.

Questions : Pourquoi Henriette Wamu qui déclare avoir réalisé 6.538 voix contrairement à 2.287 lui attribuées par la CENI et aussi que sa liste a obtenu 12.152 voix au lieu de 5.417 que leur colle la CENI, confirmant par ailleurs que la liste d’Ensemble pour la République a obtenu 7.319 voix avec comme candidate déclarée élue Christelle Vuanga ayant obtenu 5.216 voix, sillonne-t-elle dans les couloirs de la Cour constitutionnelle avec de l’argent pour soudoyer les juges, mieux les corrompre au lieu de n’apporter que les preuves ? Pourquoi Henriette Wamu attaque-t-elle Christelle Vuanga qui, sur la liste de 12 élus proclamés de la Funa, est en cinquième position de classement par ordre de voix obtenues alors qu’après elle il y a sept autres élus en deçà de 4 mille voix ?  

Beaucoup d’internautes qui la critiquent sur la toile, estiment qu’elle devra comprendre qu’il y a un temps pour chaque chose. Trois fois députée toujours à la faveur de la triche à la cour (2006, 2011 et 2018), ç’en est assez, autres temps, autres mœurs, dit-on.

  • Bendélé Ekweya té

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