Dossier viol d’une fille de 13 ans du collège Révérend Kim : le Préfet Rolly Mandiangu décline toute responsabilité de son école

L’article de Scooprdc.net sur le viol d’une fille de 13 ans du Collège Révérend Kim par les garçons de cette même école, coule beaucoup d’encres et  semble faire les choux gras des ONG qui se réclament de défense des droits des filles et des enfants. Le téléphone du média en ligne ne fait que sonner. Les responsables de l’école concernée ont réagi pour dédouaner complètement l’établissement de ce forfait. « Le forfait s’est commis le 17 mai, jour férié, chômé, où les élèves sont censés être sous la protection de leurs parents, et que cela avait lieu dans un appartement à Gombe et non à l’école ». Autrement dit, selon Rolly Mandiangu, l’école ne peut pas être accusée de toutes les bévues que ses élèves, anciens ou nouveaux commettent au cours de leurs voyages ou pendant les grandes vacances ou les congés. Ci-dessous l’intégralité de la mise au point de l’école Révérend Kim :

Depuis un certain temps, l’école Révérend Kim se trouve sur ligne de mire de quelques mauvais plaisants et jaloux, qui ne peuvent supporter le fait que cet établissement scolaire, pas du tout vieux que ceux que l’on a connus autrefois dans la ville de Kinshasa, brille déjà de mille étoiles.

Ses détracteurs s’évertuent à poster sur les réseaux sociaux les images des filles nues, et de prétendre qu’elles sont élèves de cette école, quand bien même étant nues, ni aucune insigne de cette institution n’est sur leurs corps, ni aucun édifice de la MEPCO à l’arrière-plan. Ces photos et vidéos exclusivement tournées en chambre font  la boucle, et sont délibérément associées à l’école révérend Kim dans l’intention de nuire.

La dernière en date est le fait rapporté et qui fait le tour des réseaux sociaux, affirmant le viol d’une fille de 13 ans par les élèves de l’école Révérend Kim; une fuite en avant des détracteurs de cette école, qui ne veulent pas attendre le verdict du tribunal avant de proclamer les coupables.

Quand bien-même l’auteur de l’article rapporte que ces faits se sont déroulés le 17 mai 2019, jour férié, chômé, où les élèves sont censés être sous la protection de leurs parents, et que cela avait lieu dans un appartement à Gombe et non à l’école, il laisse à côté volontairement la responsabilité des parents, et son discrédit sur l’école Révérend Kim !

Il ne reste que l’école soit accusée de toutes les bévues que ses élèves, anciens ou nouveaux pourront commettre au cours de leurs voyages pendant les grandes vacances !!

Lorsqu’une affaire est au tribunal, soit-il pour enfants, les accusés gardent la présomption d’innocence jusqu’à ce que leur culpabilité soit établie.  Sans ménager les délinquants, nous croyons que tous, journalistes y compris, sommes appelés à attendre le verdict.

Le seul péché de l’école Révérend Kim, à voir expressément avec lequel même les faits banals commis par ses élèves qui se disputent un jus sont mis sur la toile, est le fait d’avoir réussi à amener des bâtiments au standard international et enseignement de qualité visant le corps, l’âme et l’esprit.

L’école Révérend Kim se réserve donc de traduire en justice ses détracteurs et rassure ses partenaires des valeurs cartésiennes prônées au cours des enseignements.

Par ailleurs, l’école révérend Kim avait prévenu les parents pour la journée du 17 Mai, où la RDC commémore la journée de la libération, sur ce, les élèves resteront à la maison et reprendrons les cours le lundi 20 mai à 7h30′.

Rolly Mandiangu,

Préfet des études et Chef d’établissement/École Révérend Kim.

NDLR : l’Ecole Révérend Kim ne doit pas compter parmi ses détracteurs et les jaloux le média en ligne Scooprdc.net qui n’a fait que son travail d’informer sur un fait sociétal qui s’est produit et qui constitue en ce moment un procès au Tribunal. Et nulle part dans l’article, le journaliste de Scooprdc.net n’a culpabilisé ni rendu responsable l’école Révérend Kim dans ce forfait. Mais, par contre, en parent révolté, le journaliste a condamné et dénoncé l’éducation des délinquants qui sont « gâtés » par leurs parents. Le média en ligne spécialisé en investigation et en scoops comme son nom l’indique, se réjouit du fait que le préfet confirme que ce dossier de viol se trouve au Tribunal et appelle tout le monde à attendre le verdict.

La Rédaction.

  • Bendélé Ekweya té

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