Depuis plusieurs jours, une campagne de diffamation, orchestrée par des individus visiblement mal intentionnés, est dirigée vers le chef du secteur Kibali, Dieudonné Surur.
Ces attaques que ce dernier qualifie d’infondées, l’accusent injustement d’avoir manipulé la justice pour maintenir en détention Freddy Dunia Yafunga, présenté fallacieusement comme un défenseur des droits humains. Or, ce dernier a été arrêté dans le cadre d’une procédure judiciaire indépendante, en raison d’infractions clairement définies par la loi, notamment de troubles à l’ordre public et des accointances supposées avec des ennemis de la République.
La rumeur selon laquelle le chef Dieudonné Surur aurait déboursé 25.000 dollars pour influencer la justice relève de la pure spéculation. Freddy Dunia Yafunga et ses soutiens se débattent tel un diable dans l’eau bénite pour détourner l’attention des responsabilités du détenu, en tentant de politiser son arrestation et de se soustraire de la justice. « Il ne s’agit en aucun cas d’une manœuvre orchestrée par le Chef du secteur Kibali, mais bien d’une application normale de la loi par les instances compétentes. Il est irresponsable de propager des accusations aussi graves sans fondement », confie une source judiciaire.
En parallèle, une autre campagne mensongère tente de faire croire que le chef Dieudonné Surur serait impliqué dans des ventes illicites de terrains miniers et la mauvaise gestion des redevances minières. Pourtant, la gestion des concessions minières relève exclusivement des institutions spécialisées telles que le Cadastre minier (CAMI), la Division provinciale des mines et le SAEMAPE. « Dès lors, accuser le chef Surur d’actes qu’il n’a ni la compétence ni le pouvoir d’exécuter démontre soit une méconnaissance totale du cadre légal, soit une volonté manifeste de nuire à sa réputation », soutient l’un de ses proches qui ajoute : « Ces attaques répétées ne sont pas le fruit du hasard. Elles semblent répondre à un agenda caché visant à salir l’image de Dieudonné Surur et à créer la confusion dans l’opinion publique. Il est clair que ceux qui les orchestrent ne recherchent ni la vérité ni la justice, mais tentent d’entretenir un climat de tension dans cette entité au moment où la république fait face à l’agression rwandaise et ses supplétifs. La vérité et la justice ne peuvent être sacrifiées sur l’autel de la désinformation et des intérêts cachés ».
