RDC – Musique : Trois décès en l’espace de quatre mois, JB Mpiana est-il poursuivi par un signe indien ?

La star de la musique congolaise et patron de Wenge BCBG, Jean Bedel Mpiana, est secoué ces derniers jours par la disparition des êtres chers. Après avoir enterré Séguin Mignon, le talentueux batteur de son groupe et représentant valable de Titina Al Capone, qui a succombé après amputation de sa jambe à la suite d’un accident de véhicule ; après la disparition, à la suite d’une longue maladie, de son chanteur de charme Zulema, Papa Chéri vient une fois de plus de perdre sa fille, au nom d’Océane Mpiana, qui a succombé dans un accident de circulation en Europe.

Ces décès successifs en l’espace de quatre mois passeraient inaperçus s’il s’agissait du citoyen lambda. Mais il s’agit de Bin Adam ! Les spéculations vont bon train. Pour une certaine opinion, le prophète des nations, Denis Lessie, avait prédit le malheur qui devrait s’abattre sur le monde musical, et que ces malheurs qui frappent JB Mpiana seraient l’accomplissement de cette prophétie. Mais pour d’autres, il n’en est pas le cas, car la prophétie de Denis Lessie parlait des artistes qui trépasseraient avant la fin de l’année 2024, et que cette prédiction se serait accomplie avec le décès des artistes Papa Noël, Dakumuda, Doudou Adoula, Nono Mbunda, etc.

Qu’à cela ne tienne. En philosophie africaine, on a toujours attribué la mort à une cause externe. Pour les plus durs des critiques, ces décès autour de Papa Chéri seraient suspects ; ils seraient le prix à payer pour la réussite de l’opus tant attendu par ses nombreux fans, à savoir  »Chemin de fer » qui, d’après certains clairvoyants subirait des sorts maléfiques de la part des adversaires de « l’homme qui a mis l’eau dans Coco » depuis son annonce. Mais au-delà des spéculations, personne ne peut rien prouver. À moins que l’avenir ne nous réserve une surprise ! Mais en attendant, la question mérite d’être posée : l’artiste musicien JB Mpiana est-il poursuivi par un signe indien ? Non sans raison, car enterrer trois personnes en quatre mois, c’est quand même inquiétant.

  • Bendélé Ekweya té

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