Peu connu du public congolais, mais très engagé dans l’humanitaire et l’autonomisation de la femme, Rossy Mosiango Elonga est le nouveau visage de la bienfaisance en RDC comme le démontre la plupart de ses actions, pourtant non médiatisées. Il a décidé de s’engager pour une vaste campagne en faveur des habitants de Goma et ses environs dès que l’aéroport international de cette ville sera réouvert au trafic aérien, a-t-il fait savoir à Scooprdc.net lors d’une interview exclusive accordé à ce média en ligne.
» …je me nomme Rossy Mosiango Elonga. Je gagne ma vie dans les affaires, mais je suis aussi dans l’humanitaire bien que je n’aime pas trop en parler. Vous savez, la bible dit que lorsque la gauche donne, celle de droite ne doit rien savoir. Mais comme vous avez posé la question, j’ai été obligé d’en parler voyez-vous ? Vous de la presse vous êtes comme de médecins ou des avocats. Il est plus facile de vous parler que de le faire ailleurs... ».
En dehors de l’humanitaire et de ses affaires, Rossy Mosiango encadre les femmes dans le cadre de son organisation non gouvernementale dénommée « Les amis de Rossy Mosiango Elonga », où il apprend aux femmes, jeunes filles mères et autres, l’autonomisation en leur accordant de petits fonds de commerce après une formation dans la gestion de petites et moyennes entreprises et dans l’entrepreneuriat.
Du haut de son expérience d’homme d’affaires, Rossy Mosiango croit fermement à la réussite dès que les efforts et la volonté sont mis ensemble. C’est cette conviction qui d’après lui, fait qu’il encadre le genre féminin, répondant positivement à l’appel du chef de l’État Félix Tshisekedi, qui a, dès sa prise de fonction, prôné la masculinité positive.
« …pour moi, le Chef de l’État Félix Tshisekedi n’a pas seulement prôné la masculinité positive, mais il l’applique tous les jours. Depuis le Maréchal Mobutu, aucun chef d’Etat de notre pays n’a aussi fait confiance aux femmes que Félix Tshisekedi. Je le dis sans peur d’être contredit. Et d’ailleurs le chef de l’État ne me connait même pas, mais ce qu’il fait pour la femme, je me dois de le faire remarquer parce que c’est aussi mon combat de tous les jours. Voilà pourquoi je me retrouve dans ce combat pour l’autonomisation de la femme.. ».
L’environnement socio-politique kinois devra compter sur ce jeune cadre qui, loin des occupations professionnelles, compte bien accompagner le chef de l’État Félix Tshisekedi du mieux qu’il pourra, dans le changement du destin de la femme congolaise.
