Tiré d’Impact News.
Un bruit a circulé et relayé par certains medias au sujet d’une fraude qui aurait été opérée par la Société Kibali Gold Mine en complicité avec le Directeur Général de la DGDA et de l’administrateur gérant de l’agence en douane, GECONTRANS.
Approchées, les sources douanières ont indiqué qu’il ne s’agit pas d’une fraude. C’est un contentieux qui concerne plusieurs entreprises minières de l’espace Grand Katanga ou de la Grande Orientale qui suit son cours normal.
La DGDA a mis en place une application qui rend toutes les opérations très transparentes au que l’on ne peut pas organiser facilement une fraude, indiquent les mêmes sources. Le contentieux porte sur l’importance des engrais chimiques que la DGDA considère comme des explosifs. Différentes expertises ont été sollicitées et livrent au fur et à mesure leurs résultats. Ce serait mettre la charrue avant le bœuf en procédant par une campagne de sape contre le DG de la DGDA et l’administrateur gérant de GECOTRANS par des propos diffamatoires et des imputations dommageables qui peuvent conduire leurs auteurs par devant les cours et tribunaux. Monsieur Dieudonné Kasembo, ne s’est jamais livré dans une sorte de trafic d’influence comme argué par ces médias qui semblent ne rien comprendre des opérations douanières qui sont totalement prises en charge par une agence en douane qui entre en contact avec l’administration douanière au nom et pour le compte de ses clients (importateurs ou exportateurs. Rien d’anormal que l’agence en douane GECOTRANS soit mêlée à ce contentieux, étant donné que c’est elle qui traite avec l’administration douanière.
Bien plus, ce n’est pas le Directeur Général de la DGDA qui traite directement avec les agences en douane en ce qui concerne les contentieux ou les litiges, mais plutôt ses services à travers un grand Département qui s’occupe des affaires juridiques et contentieuses, chapeauté par un Directeur. Comment serait-il complice avec des clients, lui qui a été chargé par le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour mobiliser et maximiser les recettes en vue de prendre en charge les axes prioritaires qu’il s’est fixés pour son second et dernier mandat.
C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a sollicité l’accompagnement de la FEC pour l’aider à résoudre ce litige en invitant ses membres à entrer en contact avec le Directeur chargé des affaires juridiques et contentieuses. Ci-joint le courrier en question. Ce n’est donc pas une affaire de Kibali Gold Mine qui a toujours été une société citoyenne et respectueuse des lois du pays. Et d’ailleurs, s’il faut résoudre ce litige, Kibali est la société dont le montant des pénalités est moindre. Dossier à suivre.