Répercutant les injonctions contenues dans les correspondances n° 004/002/CAB/ME/MIN/J&GS/2024 et 005/003/CAB/ME/MIN/J&GS/2024 du 15 juin 2024 du ministre d’État, ministre de la justice et garde des sceaux, Me Constant Mutamba Tungunga, le procureur général près la Cour de cassation, Firmin Mvonde, a, dans une lettre datée du 19 juin 2024, enjoint tous les parquets généraux près les cours d’appels de la République, d’engager des poursuites contre les auteurs des pratiques déviantes à caractère sexuel et homosexuel, ainsi que les auteurs des nuisances sonores.
En effet, au regard de l’impact de cette décision du minétat de la Justice et garde des sceaux, si pour les nuisances sonores tout peut aller comme l’eau qui coule sous le pont, par contre pour les pratiques homosexuelles, l’on peut dire sans peur d’être contredit que le « Crocodile » va se mettre très bientôt à dos, non seulement la communauté dite « LGBT », mais aussi leurs protecteurs à savoir l’Union Européenne, les USA et l’ONU.
Or, les défenseurs de ces pratiques devront apprendre à respecter la civilisation de chaque peuple, et ne pas chercher à imposer la vie occidentale avec tous ses défauts au monde entier. Et si les organisations congolaises de défense des droits humains se sont tues à l’annonce de cette injonction de Constant Mutamba, c’est à juste titre. Car, d’après la loi congolaise, ces déviations de mœurs sont érigées en infraction. Et donc, en sa qualité de garde des sceaux, le nouveau minétat de la Justice est donc en droit de faire respecter les lois de sa République.
Toutefois, en tant que machine répressive de la délinquance, le procureur général Mvonde veut agir en pédagogue par une sensibilisation pour que les contrevenants n’en prétextent pas ignorance. Donc, les dépravés sexuels, les débits de boissons et les églises dites de réveil ont sous peu du pain sur la planche car le labrador va mordre!