Contrat forages : La théorie de « le loup et l’agneau » bien développée contre Stever construct !

Depuis le début du mois d’avril, une campagne de désinformation aux accents diffamatoires et aux allures de propagation des faux bruits, est orchestrée dans le but de nuire, non seulement à la société Stever Construct Cameroun SARL, mais aussi à son président directeur général, Mike Kasenga. A voir comment on mélange choux, patates et tomates, il y a lieu de voir dans ce cocktail, une véritable machine de destruction actionnée pour salir l’image du patron de cette entreprise.

Heureusement, constatent les proches de Mike Kasenga, que les détracteurs de ce dernier changent du jour au jour le langage. Dénonçant tout au début avec pompe un détournement, ils ont parlé par la suite de la surfacturation lorsqu’il a été prouvé noir sur blanc qu’il n’y a pas détournement. Maintenant, ils ne parlent plus de surfacturation, mais plutôt d’indices de surfacturation. Une évolution positive au bénéfice de l’accusé qui démontre que ses pourfendeurs tâtonnent en confondant un simple forage à une unité solaire de pompage et de traitement d’eau, mais qui malheureusement, utilisent mal la presse et les activistes de la société civile pour cette campagne de sape parce qu’étant dans la logique de « Le loup et l’agneau » : « …Si ce n’est toi, c’est donc ton frère. — Je n’en ai point. — C’est donc quelqu’un des tiens.. ».

Brandissant aujourd’hui l’article 4 du contrat qu’ils prétendent avoir lu maintenant après avoir inutilement fait des bruits, les détracteurs de Mike Kasenga à travers une certaine société civile recrutée de la manière dont la plupart de Congolais savent sans surprise le mode, ont fait une déclaration, jeudi 09 mai dernier, estimant qu’il y a « indice de surfacturation » d’autant plus que les stations de pompage n’ont pas la même capacité. Ils s’interrogent «pourquoi les stations des forages de 2.500 litres par heure, donc de faible capacité, sont plus nombreuses que celles de grande capacité ? » et estiment encore faussement que les trois débits (2,5m3, 5m3 et 10m3) ont coûté le même prix de 298.000 USD. Ils ont encore une fois tort dans l’interprétation des chiffres car le tableau ci-dessous contenu sur la page 5 du contrat, sur base duquel ils allèguent, ne donne ni prix unitaire ni détails spécifiques sur  la capacité de chaque forage.

D’après le technicien de Stever construct, expert en la matière, la capacité ou le débit (2,5m3, 5m3 et 10m3) de chaque station est tributaire de la densité de la population dans les milieux d’installation desdites stations de pompage et de traitement d’eau. Rien d’étonnant que les stations de 2,5m3 soient nombreuses (620) que celles de 5m3 (250) et de 10m3 (130), cela dépend du nombre d’habitants dans les localités bénéficiaires. Le technicien trouve aussi illogique que le calcul du prix d’une station soit uniformisé rien que sur base du débit sans faire intervenir d’autres charges. Il explique par exemple qu’une station de 2,5m3    installée dans la périphérie de Kinshasa, ne coûtera pas le même prix que celle installée à Bikoro. Dans pareil cas, souvent dans l’élaboration des projets, on recourt à la moyenne, mieux à la pondération pour fixer le prix. Si par exemple la station de Kinshasa  coûte 10 USD et que celle de Bikoro avec toutes les charges d’acheminement des matériels et autres frais connexes va couter 18 USD, le prix moyen d’une station dans l’élaboration du projet reviendra à 10+18 : 2, soit 14 USD. Simplement expliqué, le surplus du prix de Kinshasa va couvrir certaines charges de Bikoro. « Les experts en la matière le savent », fait remarquer le technicien.

 
Contrairement à la minoration du coût d’un forage qu’ils font gober à l’opinion, qu’ils estiment eux entre 15.000 et 25.000 USD, ils veulent faire croire aux Congolais qu’un forage, mais sans leur dire intentionnellement et par mauvaise fois qu’il s’agit là d’un forage à usage domestique très différent d’un forage avec unité solaire de pompage et traitement d’eau et d’une station mobile de traitement d’eau, donc d’une mini-Régie de distribution d’eaux (Regideso) que Stever construct livre au gouvernement au prix de 298.000 USD que eux contestent sans donner la valeur exacte d’une station de pompage  et de traitement d’eau et d’une station mobile construite pour durer plus de 20 ans comme celles de Stever construct dont un service d’entretien est prévu avec livraison.  

« Vous savez, en matière de comparaison des prix, il faut par exemple en matière des téléphones comparer Iphone et Samsung. Et même chez le fabricant Tecno, il est illogique de comparer Phantom à Spark ou à Pova ou encore à Pop bien qu’ils soient de la même famille. C’est pour vous dire que dans le choix des matériels par Stevers, ceux qui l’accusent de surfacturation ou d’indice de surfacturation, doivent tenir compte de la qualité du produit bien qu’émanant du même producteur. Cela vaut aussi pour les ordinateurs HP ou Apple. Le processeur, le ram et la capacité de disque dur comptent pour les différencier. Notion que nos détracteurs doivent apprendre », explique le technicien de Stever construct qui conseille aux non-experts dans l’élaboration de projets de ne pas s’immiscer dans la matière non à la portée de leur connaissance.   

Aspects techniques à comprendre…

Comparez les forages traditionnels destinés aux travaux d’irrigation ou de ferme qui souvent sèchent après quelques années d’utilisation et les stations solaires de pompage et traitement d’eau construites par Stever Construct Cameroun SARL dont la durée de vie est de plus de 20 ans, est une aberration. La technologie de Stever Construct est de prime abord innovante du forage à la distribution.

Tenant compte du relief de chaque site, le forage de Stever Construct va jusqu’à briser la roche pour atteindre la nappe phréatique. Ensuite, par énergie solaire, l’eau est remontée jusqu’à la cuve de traitement où elle se mélange avec du chlore avant de passer au filtre d’une dimension de 25 millimicron. Déjà à la montée d’eau vers la cuve de traitement, deux filtres sont nécessaires pour épurer l’eau à peine captée. Une fois traitée, l’eau rejoint automatiquement la citerne de huit mille litres. Et une fois que l’eau baisse de 3/4 dans la citerne, celle-ci se remplit automatiquement en heure suivant le même processus indiqué ci-dessus. Avec la durée du traitement et de remplissage, cette citerne de 2,5m3, 5m3 ou 10m³ peut renouveler son stock cinq fois par jour et capable de desservir les ménages selon sa capacité à chaque remplissage.

Les stations construites par Stever Construct sont télédétectables. En cas de problème dans l’un des sites, un système de géolocalisation est placé dans chaque station pour déterminer avec exactitude la nature du problème et la solution à apporter. L’on peut donc dire sans peur d’être contredit que ce sont des stations intelligentes. Il est à noter que chaque station est dotée de quelques pièces de rechanges composées de filtres, cuves de traitement, panneaux solaires et autres consommables remplaçables en cas de petit pépin.


De ceci, comment peut-on parler de surfacturation, lorsque les matériaux et équipements constitutifs de ces stations sont tous importés de trois pays différents à savoir Indonésie, Chine et Turquie ! Par rapport aux coûts de revient, comment ceux qui se sont mis à spéculer sur le prix unitaire d’une station, sans apporter ne serait-ce qu’un élément du prix de revient, peuvent-ils asseoir toutes leurs accusations de surfacturation, mieux d’indices de surfacturation ?

Ce qu’il faut savoir est que ces matériels sont importés pour les uns de l’Indonésie, les autres de la Chine et de Turquie. De leurs lieux d’achat, ils doivent être transportés et entreposés avant d’être embarqués. Pour être embarqués, ils doivent une fois de plus être transportés. Une fois au lieu d’embarcation, ils doivent payer la manutention, le transport, une fois de plus la manutention au déchargement, encore le transport et l’entreposage.

Si pour les sites établis à Kinshasa, ces coûts semblent moins importants, à l’intérieur par contre ils seront additifs. Car une fois de plus, ces matériaux doivent être transportés, chargés dans des embarcations à destination de l’intérieur du pays où certains sites se trouvent dans des zones enclavées. Le transport, l’entreposage, les frais administratifs (fiscales et parafiscales), la sécurisation des sites, ailleurs il y a même eu l’achat de terrains, alors que c’est à la charge du gouvernement y compris la sécurité, tout ça compte.


Somme toute, ce que tous ceux qui tirent les ficelles doivent savoir est que ce contrat signé en bonne et due forme avec le gouvernement congolais, prévoit le mode de règlement des litiges. En cas de manque d’attente, c’est le tribunal arbitral de l’OHADA qui est compétent pour connaître du dossier. Sinon, le reste c’est de la voracité de ceux qui veulent faire « le loup et l’agneau » animé par le sentiment de « qui veut noyer son chien,.. ».

En attendant, c’est la sérénité du côté de Stever Construct Cameroun SARL qui poursuit sans désemparer, sans suivre les chants de sirène, la construction de ses ouvrages en RDC tel que convenu dans le temps de la première phase avec l’Inspection générale des finances (IGF). Déjà 126 stations livrées sur les 241 prévues dans la première phase. Et pas plus que ce samedi 11 mai 2024, trois stations ont été livrées à Kinshasa, notamment dans les sites de Selembao 1 et Selembao 2 mais aussi celui de Terre jaune où les populations ont salués la qualité des ouvrages, s’en foutant de fausses dénonciations de détracteurs de la société Stever construct et de son PDG, Mike Kasenga. « Le chien aboie, la caravane passe », dit-on.    

  • Bendélé Ekweya té

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