Alors que c’est un bon souvenir ineffaçable que le président sortant du Sénat, Modeste Bahati, laisse dans la mémoire collective des agents et autres cadres administratifs de cette haute chambre du parlement ; lesquels lui ont, à travers la délégation syndicale, adressé une lettre de remerciement pour ses réalisations louables, certains individus ont été instrumentalisés ce mercredi 28 février pour saper la mention distinction obtenue par celui a opté pour son siège à l’Assemblée nationale, quittant tête haute ses hautes fonctions.
En effet, ces individus non autrement identifiées ont envahi mercredi soir les installations de la chambre haute pour faire des revendications fallacieuses dans le seul but de ternir l’image de Modeste Bahati. Une manipulation certes de ses détracteurs politiques que le président du Syndicat du Sénat dénonce avec la dernière énergie.
Dans son communiqué rendu public ce même mercredi 28 février 2024, François Mputu Bonya, président de la seule délégation syndicale des cadres et agents du Sénat, rappelle sa précédente lettre qu’il avait adressée au bureau sortant, lettre dans laquelle il remerciait Modeste Bahati et son bureau pour toutes les réalisations de leur mandat en faveur des cadres et agents.
François Mputu rappelle les belles réalisations de Modeste Bahati, entre autres : le relèvement sensible des salaires des travailleurs ; la construction de nouveaux bureaux pour ces cadres et agents ; la construction d’un centre numérique reliant le Sénat aux assemblées provinciales dont il est l’émanation ; la prise en charge médicale des agents avec fourniture des médicaments ; le rajeunissement de l’administration par l’admission sous statut et la mécanisation de tous les agents, ainsi que la régularisation des dossiers épineux des nouvelles unités.
« Je confirme que le bureau Bahati a bien géré le Sénat et a marqué positivement d’un sceau indélébile notre institution », souligne le président de la délégation syndicale du Sénat, François Mputu Bonya.
Tout en réitérant les remerciements de ses affiliés, il plaide auprès du gouvernement pour que soit apurée la situation salariale pour les mois de janvier et février en cours.
