« Il n’y a pas de bonheur à être seul heureux » ou encore « heureux celui qui partage ». Ces principes de valeur chrétienne, l’Inspecteur général des finances les a aussi assimilés en tant que créature de Dieu pour s’attirer des bénédictions en donnant aux autres le peu que l’Eternel lui offre.
En effet, après avoir réhabilité l’école Mai-Ndombe dans la commune de Matete à ses frais, Jules Alingete est revenu dans cette même école à la rentrée scolaire pour donner du sourire aux 1.800 élèves qu’elle compte. Il leur a fourni des uniformes, des cahiers et des sacs.
Outre les élèves, Jules Alingete qui a agi, pas dans sa peau d’Inspecteur des finances mais plutôt dans celle d’un philanthrope, s’est occupé aussi du fonctionnement de cette école en mettant à sa disposition 400 rames de papiers et 1000 cartons de craie. C’est sa façon de contribuer à la gratuité de l’enseignement de base prônée par le président de la République, Felix Antoine Tshisekedi.
Gare aux détracteurs, pas de politisation !
Jules Alingete est un natif de Matete qui a grandi dans cette commune, a appris Scooprdc.net. Donc, c’est dans le cadre purement philanthropique en tant que chrétien et vrai Matetois qu’il a posé son geste à Matete. Comme qui dirait : la charité bien ordonnée commence par soi-même.
Aucune ambition politique ne l’anime comme le chuchoteront certaines personnes surtout en cette période préélectorale où les candidats aux législatives nationales et provinciales se bousculent et veulent s’identifier par certaines actions par eux posées pour séduire la population électrice.
« Je suis apolitique, technocrate et je me sens très à l’aise dans mon statut de fonctionnaire de l’Etat, d’inspecteur des finances », ne cesse de déclarer Jules Alingete pour dire clairement que les fonctions politiques ne l’intéressent nullement.
Donc, que son geste charitable ne soit pas mal interprété par ses détracteurs, surtout par les personnes qu’il traque avec sa patrouille financière pour combattre les détournements des deniers publics et la corruption, lesquelles ne peuvent pas faire une lecture correcte de ses faits et gestes.
Somme toute, ce n’est ni le président de la République Félix Tshisekedi, ni le ministre de l’EPST Tony Mwaba, moins encore tout Congolais épris de bonne foi, qui condamnerait l’acte posé par Jules Alingete en faveur des élèves de l’école Maï-Ndombe dans sa Matete natale.