Jamais une personne a eu des flèches et des crocs-en-jambe de toutes parts et caractérisés par un lynchage médiatique sans précédent, comme Isidore Kwandja, directeur du Comité national des jeux de la francophonie (CNJF).
« …Cela a été laborieux et pas du tout facile pour autant. Ce fut assez stressant, ardu et parfois décourageant à certains moments. Mais cet exercice en valait la peine et a été une expérience extrêmement enrichissante », l’a avoué la victime sur son Twitter, dans son mot de remerciement après la tenue réussie de l’organisation de ces jeux de la francophonie.
Malgré cette réussite dans un temps record là où les autres ont échoué, Isidore Kwandja reste toujours la cible de détractions. La dernière, c’est cette fausse accusation qui a constitué le chou gras de la presse, émanant du restaurant Chez Raph, un des prestataires retenus pour nourrir les arbitres et les membres du jury, qui a prétendu que monsieur Isidore Kwandja avait dévié les 250.000 USD déjà versés dans son compte et a chargé même ses avocats de lui adresser une mise en demeure.
Mais après une confrontation entre Raph Diayika venu avec ses avocats et la Commission Restauration à laquelle ont été joints les experts du CNJF notamment le service juridique et l’administration, il s’est finalement avéré que le prestataire n’a pas nourri les délégations du 25 juillet au 6 août comme initialement convenu et que sa prestation s’est arrêtée le 31 juillet. Donc, il n’avait pas droit aux 250.000 USD comme il le prétendait. Ce qui a poussé à la constitution d’une commission chargée d’évaluer de manière approfondie de ce qu’il a réellement fait et combien le Comité lui doit exactement.
Mais pendant ce temps, la dignité de M. Kwandja qu’il a injustement trainée dans la boue dans un soi-disant scandale qui n’en est pas un, est restée irréparable alors que toutes les incongruités de Raph Diayika distillées dans les médias pour ternir l’image du directeur national des Jeux de la francophonie, n’étaient qu’un moyen de pression pour être payé. Pourtant, il n’y avait aucun obstacle pour son payement, étant donné que la promesse ferme de payement a été faite à tous les prestataires qui ont signé un contrat avec le CNJF dès que le gouvernement libère les fonds restants.
Somme toute, la diabolisation étant l’option prise par les détracteurs d’Isidore Kwandja pour salir son image, tout indique très clairement qu’il est devenu un homme à abattre à tout prix. Mais ceux qui le connaissent ou qui l’ont déjà côtoyé, savent pertinemment bien que c’est une personne honnête, rigoureuse, d’une intégrité irréprochable et digne de confiance.