« L’orgueil précède la chute », disent les gens avertis. Une expression que le chanteur congolais Antoine Agbepa Mumba dit Koffi Olomide semble zapper inconsciemment, aveuglé par le succès.
Ni respect pour ses collègues artistes, aucune considération à la presse, cet auteur et compositeur de plusieurs chansons à succès, s’est autoproclamé « Dieu de la musique congolaise », lors de son passage à l’émission « Face à Maniher » diffusée sur la plateforme YouTube .
« J’ai l’impression davantage qu’avant, la musique congolaise a un dieu qui s’appelle Koffi Olomide », a-t-il fièrement affirmé au micro du journaliste congolais Maniher.
Selon lui, son nom est devenu un gagne-pain pour plusieurs chroniqueurs de la RDC. Sans lui, affirme-t-il, nombreux ne pourraient vivre dans les médias.
« J’ai vraiment l’impression qu’il faut utiliser le mot ‘Koffi Olomide’ pour vivre dans les médias pour certains chroniqueurs. Parfois, je suis étonné de voir mon nom dans les titres d’émissions sur des sujets qui ne me concernent pas. Quand je demande pourquoi, on me répond que c’est parce que tu es Koffi Olomide », dit-il.
Bien que Koffi Olomide soit compté parmi les musiciens congolais qui ont fait le bonheur et la fierté de la nation congolaise durant plusieurs décennies, la même personne a été plusieurs fois cité dans les affaires sales, notamment en France, en Belgique et en République démocratique du Congo.
Actuellement, la vie privée de l’auteur de la chanson « Tatami » est sérieusement instable. Selon des sources anonymes, le divorce avec sa femme Alya étant consommé, le chanteur est à couteaux tirés avec l’une de ses filles Didistone. Cette dernière a récemment fait des fortes révélations concernant son géniteur. D’ailleurs, la communication serait totalement coupée entre père et fille.