Festivités de fin d’année : Nicolas Kazadi rassuré et rassurant du stock suffisant des vivres !

Les fêtes de Noël de la St Sylvestre s’approchent et qu’il faille se rassurer que les Congolais les passent dans l’abondance de nourritures. Ce qui a obligé le ministre des finances assumant l’intérim du ministre de l’Economie nationale, Nicolas Kazadi, de faire, ce samedi 10 décembre 2022, la ronde des différents entrepôts de Kinshasa pour être rassuré de la quantité des stocks de vivres et en avoir le cœur net.  

Accompagné du secrétaire général, Célestin Twite, et de quelques membres de son cabinet de l’Economie nationale, le ministre a.i. de l’économie nationale a commencé sa visite par la société Socimex située dans la commune de Limete.  Là, 80.000 tonnes de riz provenant de la Thaïlande, d’Inde et de la Chine et plus de 30.000 tonnes de vivres frais dont 10.000 en termes de poissons chinchards communément appelés « Mpiodi », 10.000 en poulet et 10.000 en divers ont été présentées à Nicolas Kazadi. De quoi couvrir 4 à 5 mois de livraison sans interruption.  

A Congo futur, c’est un stock de plus de 1.200.000 sacs de riz et de plus de 50.000 cartons de poulets et divers produits pouvant tenir jusqu’au 20 janvier de l’année prochaine qui ont été présentés au ministre a.i. de l’Economie nationale.  

A PALMCO, une entreprise purement congolaise spécialisée dans la raffinerie de l’huile de palme, la garantie d’un stock suffisant d’huile de palme a été faite au ministre Nicolas Kazadi.                      

Avec tous ces stocks disponibles, le patron des finances et de l’Economie nationale est rassuré et rassurant qu’il n’y aura pas rupture des stocks ni augmentation des prix des produits de grande consommation pendant la période des festivités de fin d’année, stocks pouvant même couvrir au-delà du mois de janvier prochain. Cette situation de suffisance des stocks l’est aussi pour l’intérieur du pays, rassure Nicolas Kazadi qui a regretté tout de même que l’ensemble des vivres soient des produits de l’importation. D’où son exhortation pour la production locale.

  • Bendélé Ekweya té

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