58. Peut-être même 59 ans déjà. Le fils K. n’hérite nullement du talent et de la sagacité de son père.
Vous suivez toujours ? On va parler du successeur auto-désigné. Le 1er de cordée de la fratrie des 27. Le coup d’éclat du fils de Papa X. pour capter la lumière et la gloire.
K. veut montrer à son père pas encore enterré qu’il est quelqu’un. Que lui aussi est capable. Du vivant, il n’a pas jamais eu le courage de lui tenir tête. Alors, un coup de poignard sur quelqu’un qui est très affaibli et presque mort, le pusillanime va démontrer toute sa masculinité. Expression consacrée dira-t-il souvent : « Il va voir ».
Le papa de K., Mr X à 21 ans, il se marie pour la première fois, son épouse perd son 1er en couche. Le 2e est inexorablement sauvé. C’est K. Fier d’avoir engendré un héritier, M. X. fonde tous ses espoirs sur cette clémence du ciel. Lui, orphelin, montré du doigt, vilipendé par les autres enfants va prodiguer l’amour qu’il n’a pas reçu. Il va aller de déception en crescendo, sa descendance mâle ne répond pas à ses attentes. L’enfant K. est amorphe, fourbe, intrinsèquement mauvais. Malgré les punitions correctives, rien n’y fait. Le rejeton ne suit pas d’éducation, son âge réel doit être diminué de 4 ans pour s’adapter et les professeurs achetés pour le faire avancer de classe. Mr X. perd ses illusions, il est à la recherche d’un autre héritier, son modèle. Le 2è de sa 1re ? Il y croit un court instant mais la malignité de celui-ci lui crève les yeux. Tout est fait pour masquer le mauvais sang, les précepteurs, l’expédition en Belgique dans un village cossu de Braine-l’Alleud, K. attire comme un aimant que des ennuis et des drames. Pas bon dans les études, pas bon dans le travail. Mr X. lui offre une compagnie, l’écervelé tombe en faillite. K. détruit ses frères. La maman le surprotège et cache ses manquements. Elle quittera son mari. Finalement, Papa X. se décide à faire marier son fils aîné en pensant qu’il mûrira avec des responsabilités. Le 1er mariage est avorté. Rien ne va. En grandes pompes, le 2e mariage est célébré, couple et enfant expédiés au Canada pour un avenir meilleur loin de l’imposante figure paternelle. À grand renfort de prise en charge, le garçon ne s’émancipe pas. Un bon à rien. K. ne pourvoit pas à ses 2 fils abandonnés expressément à Kinshasa. Il ne les fera jamais émigrer au Canada. Tragiquement, sa jeune épousée décède à Montréal et lui laisse 2 enfants que K. n’arrive pas à encadrer. Il est insensible, égoïste, dépourvu de sentiments. Enclin aux vices, sauf celui de la boisson. Il lui faut une vingtaine d’années pour obtenir une résidence au Canada et ses petits frères qu’on lui a confiés en contrepartie de monnaie trébuchante et sonnante, K. détourne l’argent et les affament en faisant d’eux des sans papiers.
Mais aussi, le grand délaisse ses 2 petits frères utérins dans la disette à Kinshasa. Ils vont mourir. En unisson avec ses frères et sa sœur de la même maman, K. porte accusation contre son père X. Il en veut que ses frères adultes et majeurs soient livrés à leur sort. Son père X. devait accepter de tomber en faillite et se laisser dérober tous ses biens. C’est la frontière de non-retour. K. distille la rumeur chez les autres frères et sœurs des autres mamans que leur père est coupable et que ce serait leur tour de disparaître chacun à leur tour. Ce que K. oublie de dire que c’est lui qui fomente un coup d’éclat pour s’émanciper et ravir la fortune paternelle. Il veut écarter les autres et leur faire détester leur père. K. s’adonne à rencontrer des marabouts pour être guidé dans sa perversion.
Quelle est sa joie quand K. voit son père X. épouser en dixième noces Madame Y, la petite sœur de la 9è femme de son père. Madame la Vedette, souvenez-vous. Bien que sa cadette, il trouve une âme sœur en sa belle-mère. Association de malfaiteurs, ces deux-là passent des heures à préparer leur trame. L’éviction de la vie des enfants de la 2è femme en prenant les empreintes et en faisant signer à l’aveugle contre sa volonté de déshériter ses autre enfants sauf ceux de la 1re et de la dixième. Preuve à l’appui sous enregistrement communiqué à la police de la 3è ville du pays pour restreindre les visites au père. Mesure d’éloignement contre la demi-sœur pour l’empêcher de voir et de sauver le Papa. Car la foi inébranlable de la fille aînée du nom de la maman de Mr X les effraie tous avec son message messianique.
La fin de Papa X préméditation depuis les années 2010, en voyageant à Kinshasa en trio, le Papa aveugle impuissant qui ne se doute de rien, Madame X et le fils mal aimé K. Repérage du patrimoine colossal en vue d’en prendre possession. Le pacte est scellé. De retour en Belgique, Mme Y. fait semblant de céder la gestion au fils décérébré, elle a très vite compris que K. est sans cervelles, haineux et malléable. Pas comme le père à qui consciencieusement détruit son cerveau par séance hypnotique. Mme Y. pense pouvoir instrumentaliser et se jouer de K. Mais la chose se rebiffe quand la nouvelle compagne de K. appâtée par les gains, dévoile les détournements des livrets de logeurs en s’apercevant que Madame la Vedette a mis de côté un gros pactole pour ses deux enfants. Le partage d’héritage conclu qui consistait à ce que le fils aîné possède toutes les richesses en RDC et que la marâtre, elle, obtienne les fraudes aux assurances-vie en Belgique de plus de 2 millions est rompu. Batailles juridiques dans les tribunaux kinois, à coups de jugements de circonstance selon d’où provient le financement. K. de manière frauduleuse, mensongère sans mandat du conseil de famille fantôme, avec aucun membre de famille présent, aucune date, s’octroie curateur du vivant de son père X. par son unique petite sœur, un maigre dossier médical du papa sur base d’un certificat ophtalmologique ! Réplique. Interjection. Suspension. Appel. Mme Y. qui usurpe l’identité du Papa X. et donne procuration à l’avocat mafieux de tous les faux. Le déclin du mari pour l’une et du père pour l’autre ne va pas assez vite. Le fils K. de son côté accélère la cadence, l’engeance de conversion s’allie. De l’autre partie du monde, K. assisté par un magistrat véreux fait emprisonner son agaçant demi-frère, fils de la deuxième épouse de son père et engage la belle-sœur, veuve de son frère pour l’empoisonner. K. réussit à neutraliser ses adversaires prétendant au titre d’héritiers. Quant à Mme Y apprenant que la source des loyers se tarit, confisquée par son ancien associé et que les assurances-vie ne peuvent qu’être qu’encaissées qu’au décès de Mr X. Et que le fils débile est en train de vendre des concessions que la marâtre avait pris soin de faire changer au nom de ses deux seuls enfants de sa progéniture. C’est trop. Madame Y est en marche de conquête. En juillet 2021, Mme Y. auréolée de son titre de concubine de fait à plein pouvoir avec le droit du patient en Belgique, va faire euthanasier la personne avec qui elle vit malgré qu’il soit officiellement marié à une autre et malgré que les enfants adultes et responsables de Mr X. s’y opposent. De surcroit, étant bien protégée par la clique de médecins, policiers et administrateurs, elle n’est pas mis en cause lorsqu’en plein jour devant les professionnels de la santé, assistants sociaux, avocat et homme de Dieu, elle commet une tentative de meurtre en empoignant la fille ainée de son mari, par le cou, l’asphyxiant. Ce n’est que par la poigne de rugbyman de son fils que la victime est libérée de sa tenaille. Autre bataille de ce front du nord, contre les médecins, les hôpitaux, les enfants de la 2è épouse ameutent les avocats, dénoncent les manipulations et les maltraitances envers leur père. Personne ne les écoute. Ils crient à Dieu en désespoir de cause. À force de ténacité, de persévérance, le miracle opère, l’opération chirurgicale tant décriée par la tueuse à gage a un retentissant succès. Une personne saine d’esprit comment peut-elle refuser de faire poser une sonde gastrique avec 95% de chance de réussite ! Nenni, la perfide sorcière qui n’est pas à son 1er fait d’arme en ayant précipité à la mort sa co-rivale, envoute les enfants orphelins de cette dernière et les convainquant de faire bloc avec elle ainsi que le beau-fils boulanger, ancien journaleux sportif époux de la fille blanchisseuse pièce rapportée par une maîtresse de province. Cet amalgame d’intérêts communs veulent faire à tout prix faire mourir Mr X. Ils brandissent les 5% de risques pour ne pas l’alimenter. En effet, le réalimenter fait échouer leur plan. Le pauvre X qu’on tue à petits feux, grève de la faim imposée. La représentante du parti et la femme politique en devenir a faim de nouvelles conquêtes. Les incantations, les enchantements, les pressions, les représailles, aucun des tours occultes invoqués par la grande prêtresse n’opèrent plus comme par enchantement. Il lui faut des sacrifices.
À l’œil, devant elle, force et prières, louanges et chants à la gloire du ressuscité, l’unique fils de Dieu. Son champ d’action et de nuisance est désactivé, la marâtre doit revoir ses cartes, ranger sa boule de cristal. Mme Y ne lâchera pas le morceau cependant comme un serpent à qui on a coupé la queue.
Victoire, les médecins corrompus font admettre Mr X. en maison de repos à Gosselies. Durant tout l’été et l’automne de sa vie, Mr X. ne sera pas visité ni par sa 1re épouse ni par aucun enfant et petits-enfants qu’il a eu avec elle. 5 mois durant, le fils indigne K. n’a pas jugé bon de venir se recueillir une seule minute auprès de son père. Par contre K. inoculé de vaccins Covid, de son Canada d’exil, traverse les océans pour venir administrer de l’hôtel de Kinshasa, et faire la jouissance du patrimoine soutiré à son père agonisant au Grand-Hôpital de la ville minière en Belgique. L’annonce de la mort de Mr X. est faite en premier à Kinshasa sans en informer l’épouse officielle ni les enfants du père défunt à quelques kilomètres. À Kinshasa, les oncles paternels, la famille et les amis proches supplient K. de faire le deuil en sa présence, le fils refuse catégoriquement. Pas de quartier. Pas de deuil. K. ne donnera même pas 200$ pour mettre 50 chaises et représenter l’effigie de son père dans la demeure. Aucun lieu pour se recueillir, aucune salle louée. K. tient là sa revanche et sa vengeance. Malgré qu’il bouffe plus de dizaines de milliers de dollars mensuels de rente locative, il distribue dispendieusement avec ses cousins maternels, avocats et maitresses dans une vie dépravée. Avec l’argent de son père, K. n’a pas l’intention de l’utiliser pour celui à qui il appartient. Vanité des vanités, le frère décadent K. fuit en Belgique pour assister en catimini aux obsèques de Mr X. Effacé K. ne prend pas position, laissant son rôle d’ainesse à la fille de son âme sœur, la dixième bureau, pour organiser la pseudo-parade d’enterrement qui n’aura pas lieu. Le pauvre immigré congolais sera sordidement placé au frigo dans un caveau d’attente au cimetière de Marcinelle comme un vulgaire et quelconque individu sans ressources. Alors que les proies, chacals et autres oiseaux de mauvais augures se partagent ses restes.
K. n’a pas dit un seul mot dans la procédure de rapatriement en cours qui oppose la veuve de droit qui compte plus de 56 ans de mariage (les 50 années de noces d’Or) avec Mr X. contre une enfant ingrate de 24 ans aspirante-médecin, lit de la dixième concubine qui se fait appeler « de fait » ou « permanente » en Belgique, et qui non seulement doivent les études de médecine et séjour, papier en toute légalité ainsi que la nationalité belge par l’entremise de l’unique épouse reconnue dans les registres du royaume de Belgique et devant l’Éternel. Quant au fils haineux K. et les enfants de la 1re épousée, ils s’associent vindicativement et immoralement en accordant tacitement tout leur soutien à la marâtre croque-mort pour refuser la volonté de leur père de pourvoir ses os dans sa concession achetée en prévision à Mbenseke, vers sa douce terre natale et mère-patrie, la belle RDC.
Poussière, tu retourneras à la poussière. Combat spirituel, combat contre le mal. Le bien triomphe toujours et la Vérité est aux côtés des justes. Les patriarches ont tous réclamés à leur descendance de ramener leurs restes dans leur chère patrie. K. n’a jamais compris que le père l’a aimé malgré ses imperfections. K. trop aimé mais le mal est né.