Réagissant à l’article de scooprdc.net par média interposé, monsieur Michel Bisa Kibul, semble-t-il professeur de son état, s’est lancé ce lundi 8 août dans l’intimidation et la défense d’une cause qui n’est pas sienne, pas même de sa faculté ni son département, mais qu’il qualifie tantôt de folles rumeurs, tantôt d’inepties ou encore de faits mensongers avant tout de même de donner son avis en affirmant que les personnes citées sont encore présumées innocentes, jusqu’à l’ouverture et clôture de la procédure, si procédure il y a déjà.
Ce professeur, s’il l’est vraiment, associe dans son envolé verbal un raccordement frauduleux, faisant croire aux lecteurs que l’article de Scooprdc.net sur le scandale dénoncé à la faculté de droit et précisément au département de droit public international aurait insulté l’Université de Kinshasa. Ce qui est faux car cet article a été lu par d’autres professeurs de cette même université qui ont félicité le média d’avoir relayé ce qui est déjà connu de la faculté et du département précité.
Faudrait-il informer à l’avocat du diable Michel Bisa Kibul que « son client » incriminé qui a contacté le directeur général de Scooprdc.net depuis le Kasaï où ce dernier séjournait, n’a pas nié l’existence de cette accusation des étudiants auprès de deux autorités du département, les prof Kaluba et Minga, et qu’il est entendu à ce sujet, mais a qualifié ce qu’il lui arrive de cabale montée contre lui par ses détracteurs ?
Faudrait-il signifier à sieur Michel Bisa Kibul que le directeur de Scooprdc.net, de surcroît frère tribal de son « client », a demandé à ce dernier de faire une mise au point ou un démenti s’il y a, mais qu’à la place son « client » n’a envoyé que ses échanges téléphoniques et par message écrit avec l’étudiante mise en cause ; échanges visiblement intervenus après la dénonciation du scandale ?
Faudrait-il rappeler à sieur Michel Bisa Kibul qu’il existe un échange que le média détient, entre un professeur dont il était volontairement le nom de ce département et le professeur incriminé ? Échange dans lequel le premier affirme que plusieurs informations ont été diffusées et relayées à grande échelle et en partie aussi par l’incriminé lui-même, au sujet du scandale de monnayage de mémoires dans la désormais triste faculté, l’adjectif triste serait tiré d’un message d’un professeur qui n’a pas caché sa honte de faire partie de cette faculté.
Faudrait-il rappeler une fois de plus à ce défenseur de causes perdues que ce même enseignant a demandé à son collègue d’incriminé de suspendre cette campagne de diversion en attendant de tirer les choses au clair afin de prendre de dispositions qui s’imposent.
« …À cet égard, puis-je vous prier de considérer avec moi ce qui suit :
1. Les dénonciations de ce scandale qui viennent une fois de plus de milieux des étudiants suffisent à prouver que je n’ai ni le métier, encore moins le talent de traquer les artistes et artisans des comportements non légitimes au sein de notre faculté ; seulement que pour ne pas décourager ceux qui prennent le risque de le faire, je me fais le devoir de ne pas étouffer leur expression.
2. Il en est ainsi de la mise en exergue du scandale d’écriture d’un membre de votre département : incapable de composer une missive en français à deux reprises en dépit de l’entourage qui le coachait ; curieusement, il a eu l’outrecuidance de traîner en Justice (au Parquet) 3 membres de notre département (dont moi-même) sous le chef d’imputations dommageables contre sa personne et association de malfaiteurs (quand le vice sait rendre hommage à la vertu, hélas).
3. Les faits dénoncés à travers ce scandale de collision entre une étudiante et un directeur de mémoire ( malheureusement il se fait que c’est vous) sont devenus monnaie courante à la faculté de droit : et c’est logique dès l’instant où la faculté n’est pas gouvernée avec professionnalisme et désintéressement depuis plusieurs années ; curieusement, le doyen, le VDE et le VDR sont tous de votre département, lequel a perdu de son aura depuis que son chef de file a relâché le levier de la commande, livrant son destin à l’anarchie et duquel sans un sursaut de prise de conscience , jaillira tjrs la sève qui corrompt les mœurs au sein de notre faculté ( les thèses, les charges horaires et cotes des étudiants : presque tout dans ce Dpt est l’expression de la complaisance et du tribalisme).
4. Pour le reste de propos, je note que votre stratégie de communication est intentionnellement stratégique et donc peu authentique. Alors que j’avais demandé au prof Kalala de me mettre en contact avec vous pour discuter sincèrement, vous avez en un laps de temps livré plusieurs versions de faits sur les réseaux, lesquels se révèlent au final porteuses de contradictions et de confusion délibérée.
5. Par exemple, dans le message à votre chef de département, vous indiquez que c’est depuis l’année passée que vous avez cette étudiante sous votre direction. Dans le message que vous m’adressez, vous prétendez que c’est seulement au début de cette année et que l’étudiante ayant disparu, elle a réapparu en juin et travaillé durant la première moitié de juin pour voir son mémoire être autorisé à être défendu. Curieusement, dans la conversation audio avec la même étudiante, vous reconnaissez implicitement qu’elle était sous l’encadrement d’un collègue du Dipri (Droit international public et relations internationales) jusqu’en juillet.
6. Permettez-moi de vous dire que ces versions contradictoires de faits vous desservent et nous discréditent tous. Elles ont le mérite de mettre en évidence notre incapacité à être cohérents dans la mesure où les autorités du Dipri, en particulier la Secrétaire en charge de la recherche (votre collègue) confirment que l’étudiante relève du Dipri jusqu’à présent.
7. En attendant une confrontation sur ce point, je relève pour ma part que l’organisation de la recherche au Dipri ( Dpt dont je suis le premier responsable) est structurée : il y a la traçabilité de tous les renseignements sur les rapports entre étudiants et directeurs. Pour preuve, la professeure Anne-Marie a livré spontanément les rapports relatifs au suivi et aux échanges entre l’étudiante en question et son directeur ; et ce dernier a réagi et serait prêt à apporter la preuve nécessaire à cette fin.
8. Il s’ensuit clairement que de deux choses l’une : soit les autorités du Dipri que nous sommes n’avons pas la maîtrise de ce que nous affirmons par le biais de notre Secrétaire en charge de la recherche, et donc toute la dénonciation des étudiants sur ce scandale sont infondées, ou soit au contraire c’est votre système de défense qui est instrumental et donc peu ethniquement recommandable.
9. Saisies par la même voie, les autorités du bâtiment administratif m’ont demandé de leur écrire officiellement, pour raison de forme. Je suis donc suspendu à notre échange avec vous pour lever l’option de l’attitude pragmatique à prendre en toute « responsabilité ».
Nous pouvons à notre niveau trouver une issue et tirer les conséquences de ce scandale de plus sans faire de dégâts, mais condition de communiquer sincèrement. Ce à quoi je vous invite lorsque nous en auront l’occasion.
En attendant, je vous souhaite un bon début de journée du dimanche en espérant que la flamme du Saint Esprit nous éclaire et nous serve de source de réchauffement dans nos moments de faiblesses inhérentes à notre statut d’humain« , avait-il écrit.
Au lieu de promettre la mort à ceux qui osent combattre le mal où qu’il soit, Sieur Michel Bisa kibul ferait mieux de faire profil bas et laisser faire les autorités dudit département. Car en utilisant le pronom « nous » dans sa communication, il cherche à embarquer tous les professeurs de l’UNIKIN comme s’il a été mandaté à le faire. Il ferait mieux d’utiliser le pronom « je », parce que certains professeurs de la même université ont confirmé les faits. Scooprdc.net ne s’attaque pas à l’UNIKIN mais plutôt dénonce ceux qui veulent ternir son image en « désinspirant » la colline par la détérioration de la qualité de l’enseignement.
Que monsieur Michel Bisa Kibul sache que Scooprdc.net est même au courant du dossier CPRK de son « client » d’il y a trois ans. Respect donc, pour ce grand média d’investigation. Sinon, le « prof avocat de mauvaises causes » lui donnerait l’impression d’être un professeur de pacotille, étant donné que l’intelligence n’exclut pas l’immoralité dans le chef de celui qui l’incarne, surtout encore que cette intelligence ne rime toujours pas avec la personnalité.