SOGECOPA : Triste histoire de succession ! (Tribune) 

Lundi, 8 août 2022- Cet été sonne étrangement.  Cela fait 9 mois qu’un citoyen congolais de son état n’a pas pu encore être rapatrié comme le souhaite sa veuve.

L’histoire est une histoire belge. Et ne fait pas rire. Cela traite de la mort et du souhait de la personne qu’elle n’a pas laissée connaitre de son vivant à la famille qu’il avait fait immigrer du Congo. 

Polygame patenté devant l’Eternel, avec cohorte d’épouses, de concubines et de maitresses, le sieur laisse 23 enfants de plusieurs lits.

Mésentente prévisible, la guerre d’héritage aura lieu et est déclenchée. 

Le premier protagoniste, le fils aîné, J. de son initiale, indigne de sa position, orchestre de connivence avec le dernier bureau de son père une machination machiavélique pour dégommer les autres enfants de son père en utilisant le système permissif et jouissif de la justice kinoise, assoiffée de dollars pour remplir le ventre percé des juges, procureurs et avocats en question. 

Deuxième acteur, la marâtre. Une jeune qui a pris dans ses filets un homme de plus de 30 ans son aîné. Un sugar-daddy. 

Programmation pour détruire et séparer, le père des enfants qu’elle a trouvé pour s’accaparer le millionnaire qui aimait les femmes. Répudiée un temps à Kinshasa pour ses conduites infidèles, par force d’envoûtements et de maléfices, patiemment, elle a tissé sa toile et est parvenue à se jeter en Belgique et à marionnetter la 3ième ville de la Belgique. 

Plusieurs milliards de dollars dont des parcelles dans tout le Congo. Les assurance-vie  dévolues ne suffisent pas. Comme toute association de malfaiteurs, l’entente secrète éclate en morceaux devant les montants à récupérer après la disparition en la faisant passer pour mort naturelle.

Pour arriver à ses fins, la dame de Charleroi de quarante-sept ans a comploté d’abord pour écarter les épouses légales en présentant à la justice elle-même par des moyens détournés les demandes de divorce. 

Très vite, l’intrigante arrive à détruire le peu de vue qui restait au pauvre Théodore pour tout diligenter à sa propre gloire. Exit la 1ère épouse. Bon débarras pour la 3ième épouse, elle n’a pas eu à s’en occuper. Quant à la 4ième, elle est partie d’elle-même. La 5ième, celle qui lui a fait découvrir la poule aux œufs d’or, en lui piquant son mari sous sa coupe est neutralisée. 

Sa parente évincée coule des jours heureux aux Etats-Unis. Mais la perverse dame qui s’est fait faire deux enfants reconnus sans faire d’ADN, doit s’attaquer à la femme qui se cache derrière le succès de son époux et  qui a fait devenir ce que Théodore est, un homme à succès que tout réussissait, décoré avec les plus grand honneurs avant que la dévoreuse lui mettent le grappin dessus. 

Depuis, la chute a été vertigineuse, le chat noir ramené dans le foyer, a désalimenté, rendu déficient, fait perdre la motricité, aggravé le glaucome en ne le lui prodiguant pas les soins et médicaments appropriés, multiples AVC non traités, problèmes neurologiques, impotence et emprisonnement. Comme en prison, droits de visites, geôliers-enfants pour le surveiller, même les amies du cerbère.

Amis et proche parents interdits de fréquentation, conversations sous écoutes et confiscations de tout moyen de communication et soumis à plusieurs tortures. 

Pour le pauvre Théodore, l’urgence médicale s’aggrave, Mme K.P.T. de ses initiales s’improvise infirmière et la fille-médecin de son père et le garçon ambulancier-rugbyman pour précipiter sa fin.

Madame en a marre, elle ne va pas passer sa vie à torchonner le c.l comme elle le dit, de ce gériatre devenu inutile pour sa stratégie. 

Elle veut progresser. Les portes du pouvoir s’ouvrent à elle, on lui promet un ministère en tant que femme au pays. C’est décidé, Théodore est condamné à mort. Précipite vers les soins palliatifs. 

9 mois, une naissance. 9 mois une mort. Un automne, un hiver, un printemps…

Qui a tué SOGECOPA ?

Si vous avez bien suivi, la 1ère partie de l’épisode, on vous a présenté les méchants dans leur rôle de vilains. Petit résumé, pour ceux qui n’ont pas lu. Une dame de 47 ans s’accapare d’un monsieur qui n’est pas de son âge, il mourra à 77 ans. En 24 ans et quelque de relation, le 10è bureau s’est retrouvé, comme elle l’a proclamé, devenir 1er bureau. Dans un cauchemar réveillé, elle arrive à brouiller et à semer la mort sur son passage. Querelles savamment montées contre les enfants. Le père tout à son aveuglement physique, il a un glaucome, c’est-à-dire une dégénérescence programmée de sa vue, qui ira de pire en pire les dix dernières années de sa vie passées aux côtés de la fille.

Embrigadement, commandement, elle se rend indispensable, elle est partout, et gère tout en lieu et place. Elle a le don et la sagesse infuse. Elle voit pour lui, elle l’a créé, sans elle, il n’est rien lui endoctrine-t-elle à dose d’hypnose et se séances occultes. Elle dézingue ses co-rivales en son nom. 

L’homme à femmes qui gardait ses premières épouses précieusement, Mme K.P.T leur envoie si pas une lettre de répudiation ou si elles se montrent trop collantes, c’est une procuration qu’elle se fait remettre pour faire prononcer des jugements de divorces par un des tribunaux de Kinshasa. Et pour les enfants, rien de plus facile, diviser pour mieux régner. Elle fait un pacte avec le frère ainé qui a soif de verser le sang de ses demi-frères et sœurs, lui enfant du 1er lit se donne de s’arroger le droit de tout hériter sans partage. La cible était facile. Assoiffés par l’appât du gain, les voilà comme ceinture et pantalon pour ne rester qu’à deux sur les 27.

Union des enfants de la 1ère femme avec le dernier « bureau ». 

S’étant emparée de tout ce que Monsieur possédait même dans ses plus infimes secrets, à sa guise, elle commande et distribue les rôles en grande prêtresse.

Religieusement, s’assemblent le beau-fils *journaliste sportif de son ex-état* et *la fille rapportée à l’adolescence d’un vagabondage*. Les apparences sont trompeuses. C’est la compagne aimante, qui a sacrifié sa jeunesse et *sa prétendue virginité* pour le vieux. 

Elle fait semblant de le soigner inlassablement, couvre les quelques membres de la famille qui s’obstinent à s’aventurer le visiter dans son logement du 7è social, de plats gourmets et gastronomiques suspects à ceux qui se laissent malgré tout aller comme Esau appâtés par les saveurs et les odeurs tentatrices. Mais que leur fait-elle manger ? Et ils en redemandent et la traitent en déesse incarnée même les vieux loups qui ont tout vu et tout connu de la vie. 

Ils se laissent berner, envoûter, éblouis qu’ils sont par tant de machination chez une femme de cet âge. 

Elle se moule dans leur génération. Paix à leurs âmes.

Mme K.P.T. savoure à pleines dents son succès. Ses stratagèmes ont fonctionné. Le patriarche l’embête, elle n’a plus besoin de lui. Elle fomente avec fortes complicités d’entourages maléfiques de faire admettre le gênant en soins palliatifs.

D’imprécations et de structures aussi bien à Kinshasa que dans le pays noir de la Belgique. Scandale physiologique, après tout ce qu’elle fait pour le diminuer, Mr T reste coriace, il ne voit plus, c’est vrai. En lui soustrayant ses médicaments, l’infirmière aidante n’arrive qu’à lui faire perdre ses repères sensitivomoteurs, il ne marche plus, attaché à son lit 24 h sur 24, dénutri, déshydraté, 54 jours sans manger.

Chronique d’une mort annoncée. Mais il tient. Un miracle, il pense être délivré quand accoure à son chevet, ses enfants. Les défenseurs, les combattants. Fruits de sa tendre épouse de cœur. Il voudrait leur crier au secours, sortez-moi de là. Mais il n’arrive pas. N’en a plus la force. Il arrive à serrer à toute force leurs mains sur sa civière. Il ne lui reste que 5 jours tout au plus dit le médecin. Un autre dira, c’est incroyable comme il s’accroche, il aurait dû partir depuis longtemps. Aux soins palliatifs, c’est l’entrée, l’accompagnement vers la mort, personne n’y revient vivant. 5 jours et si pas 30 jours. Condamnation d’Hippocrate.

…À suivre.

  • Bendélé Ekweya té

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