Depuis son opposition face au dribbling du président de l’Assemblée nationale qui voulait s’accaparer du quota du Sénat dans la composition des juges de la Cour constitutionnelle alors que son institution en avait déjà deux, Modeste Bahati, président de la Chambre haute du Parlement fait l’objet de diatribes et autres boulets rouges tirés sur lui.
Et pour consolider leur entreprise de nuisance déstabilisatrice, les détracteurs de Bahati veulent le mettre en faux avec le président de la République en le diabolisant dans les réseaux sociaux et autres médias bien sélectionnés. D’où les informations d’une prétendue pétition de sénateurs pour son départ du perchoir et d’un supposé ballottage défavorable pour lui dans l’Union sacrée de la nation, sont distillées contre le « Vieux Maradona », habitué hélas à des coups bas et crocs-à-jambes politiques qui ne l’ébranlent généralement pas du tout.
Alors qu’ils sont en pleine campagne de diabolisation et de sa déstabilisation, les pourfendeurs de président de l’AFDC-A, sont surpris que ce dernier bénéficie toujours de l’estime et de la confiance du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi. En effet, Fatshi vient de le désigner comme son représentant à Kisangani à l’occasion des honneurs à réserver au retour des reliquats du tout premier premier ministre et héros national, Patrice Emery Lumumba. Ce qui fait dire aux proches de Modeste Bahati qu’il est toujours combattu, mais jamais battu. Ci-dessous la lettre de Guylain Nyembwe, directeur de cabinet du président de la République adressée à « Vieux Maradona » :
