Sénat : Focus sur l’an 1 du bureau Bahati !

Par la Celcom/Sénat

Le bureau du Sénat que dirige le professeur Modeste Bahati a totalisé une année mercredi 02 mars 2022. Dès son  élection  à la tête du Sénat et sa prise de fonction,  Modeste Bahati  Lukwebo avait promis de gérer autrement cette chambre haute du Parlement. C’est dans cette optique que le bureau géré par ce notable du Sud-Kivu a misé sur une  batterie de  réformes, afin  de permettre au Sénat d’apporter avec efficacité sa pierre à l’édification d’une société soucieuse du bien-être de tous les Congolais.    

Toujours dans le souci de donner une nouvelle et meilleure image du Senat, Modeste Bahati Lukwebo et son  Bureau ont réussi à redynamiser la diplomatie parlementaire du Sénat. Aussi, depuis la prise de fonction de la nouvelle équipe dirigeante de la Chambre haute, cette institution s’est- elle ouverte au monde.

Le réseau de la coopération interparlementaire du Sénat est renforcé. De Vienne à Rome en passant par Madrid, Varsovie et Pretoria, la RDC, à travers son Sénat est désormais visible à toutes les rencontres internationales. Modeste Bahati Lukwebo  a été invité à la Conférence des présidents des parlements du G20 où il a eu des entretiens fructueux avec la Présidente du Sénat américain, Madame Pelosi, la présidente du Sénat italien,  les présidents du parlement de Turquie, Corée du Sud, Brésil, Afrique du sud, Indonésie, etc.

L’organisation d’une grande mission parlementaire belge au début du mois de novembre dernier est l’une des preuves éloquentes  de la diplomatie parlementaire agissante  de l’ère Bahati Lukwebo au Sénat. 

C’est d’ailleurs dans le cadre   de cette noble  mission que le Palais du peuple,  siège du Parlement, a dû servir de cadre à l’organisation de  la 1ère édition de la  grande Foire Internationale des Entrepreneurs qui a été un franc succès en termes d’exposition et de participation. 

Le Sénat étant l’émanation des provinces, une collaboration permanente existe désormais  entre la  Chambre haute du Parlement  et les provinces. La collaboration ainsi instaurée vient de se concrétiser avec l’organisation à Kinshasa du premier Congrès qui a réuni les présidents des Assemblées provinciales. Et cela conformément à la Constitution du 18 février 2006, en son article 104 alinéa 2 et au  Règlement intérieur du Sénat en ses articles 10 et 220.

Ce Cadre de dialogue et de concertation créé entre le Sénat et les présidents des Assemblées provinciales de la RDC n’avait jamais existé avant.  Il a donc  fallu attendre 15 ans, avec  l’avènement du Bureau Bahati au Sénat,  pour voir  cette disposition constitutionnelle devenir une réalité.

C’est  grâce à ce cadre constitutionnel de dialogue que  les présidents des Assemblées des 26 provinces du pays se sont retrouvés à Kinshasa dans un forum au cours  duquel chaque province a présenté son état de lieu, ses perspectives et besoins, devant les sénateurs, des délégués de la Présidence de la République et ceux du Gouvernement central.

Ce cadre de dialogue a le mérite d’avoir  restauré   la confiance entre les Assemblées provinciales et le Gouvernement central.

Ce cadre de concertation qui sera permanent permet aussi  le partage d’informations et de coordination, notamment  l’information sur les problématiques touchant  à la gouvernance territoriale et au développement local.

Le Sénat d’aujourd’hui veut aussi contribuer sensiblement à l’amélioration de la mobilisation des recettes du pays.  En effet, soucieux de l »amélioration des conditions de vie de la population, le Sénat, en sa qualité d’autorité budgétaire,  tient à ce que  le budget présenté par le Gouvernement central  réponde aux attentes des Congolaises et Congolais suivant la vision chère au  Président de la République Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui fait du bien-être de la population  son cheval de bataille. Pour y parvenir, les sénateurs, à l’initiative du Bureau de la Chambre Haute,  vont désormais  en missions dans toutes les provinces du pays. Ces missions de contrôle parlementaire consistent, entre autres, à évaluer le potentiel réel des recettes que les grandes régies et les secteurs productifs peuvent apporter au budget de l’Etat.

Avant ces missions,  la commission ECOFIN du Sénat a eu à auditionner quelques membres du Gouvernement central  et des  mandataires publics toujours dans le cadre du contrôle parlementaire. Cela,  dans le souci d’aider l’Exécutif national   à bien mener sa mission.

  • Bendélé Ekweya té

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