« Dékabundisation » de maitre-nageur : La Fatshisphère, une Cour du roi Pétaud ?

À court de sextape ou autres bad buzz ces derniers jours, les internautes congolais s’adonnent à pleine joie à commenter le clash Kabund-GR qui a nourri les discussions ces derniers 72 heures.

Ces faits selon des analystes ne sont que des effets, des conséquences des causes évidentes proches comme lointaines dont le laisser-faire accordé à Jean-Marc Kabund depuis la lutte pour arracher la majorité parlementaire à l’Assemblée nationale. L’opinion se souvient encore de la vidéo devenue virale sur le web de Kabund dit 500 gigas engueulant un officier supérieur de la Police Nationale Congolaise commis à la protection du Palais du Peuple pour y faire entrer toute une populace de combattants à la naissance par césarienne de l’Union Sacrée sur le cadavre du FCC. Depuis donc l’homme redevenu 1er vice-président de la chambre basse du Parlement se comporterait comme un vice-pape à Rome, comme le Vice-président de la République.

Conséquence logique, cela gêne et a généré une guerre de Pouvoir entre l’UDPS de la 10ième rue et les sphères des conseillers à la présidence (venus de la diaspora) et, aussi, les sensibilités de certains dans la famille biologique du PR05. Le traitement expéditif du dossier Marcellin Bilomba, par exemple, par le duo Kabund-Kabuya serait révélateur de ce malaise.

En sus, le fait que l’élément de la garde républicaine brutalisé par la garde de Kabund soit commis à la sécurité d’un « membre de famille » du Chef de l’Etat a été un coup du destin, du diable peut-être qui sait. Puisque la goutte d’eau a été de trop, le vase a débordé et le maître-nageur a été mouillé dans son dernier retranchement : sa résidence officielle.

Le spectacle digne d’un film d’action hollywoodien vécu mérite du Kinois lambda le chant :  » Satan kotela bango, ba bunda « .

Fables dignes de la Fontaine ou propos mesurés, cette lecture des choses mise en musique avec la longue série de scandales connus publiquement ou pas des nouveaux roitelets du régime pousse à se demander si la Fatshisphère n’est pas devenue une cour du roi Pétaud, milieu où chacun veut commander, où règne une forme de cacophonie ! Évidence : les signaux inquiétants lancés par le clash Kabund-GR et ceux d’avant poussent sérieusement à l’interrogation surtout en cette quatrième année du mandat du Président Félix Tshisekedi. 2023 c’est demain.

À court de sextape ou autres bad buzz ces derniers jours, les internautes congolais s’adonnent à pleine joie à commenter le clash Kabund-GR qui a nourri les discussions ces derniers 72 heures.

Ces faits selon des analystes ne sont que des effets, des conséquences des causes évidentes proches comme lointaines dont le laisser-faire accordé à Jean-Marc Kabund depuis la lutte pour arracher la majorité parlementaire à l’Assemblée nationale. L’opinion se souvient encore de la vidéo devenue virale sur le web de Kabund dit 500 gigas engueulant un officier supérieur de la Police Nationale Congolaise commis à la protection du Palais du Peuple pour y faire entrer toute une populace de combattants à la naissance par césarienne de l’Union Sacrée sur le cadavre du FCC. Depuis donc l’homme redevenu 1er vice-président de la chambre basse du Parlement se comporterait comme un vice-pape à Rome, comme le Vice-président de la République.

Conséquence logique, cela gêne et a généré une guerre de Pouvoir entre l’UDPS de la 10ième rue et les sphères des conseillers à la présidence (venus de la diaspora) et, aussi, les sensibilités de certains dans la famille biologique du PR05. Le traitement expéditif du dossier Marcellin Bilomba, par exemple, par le duo Kabund-Kabuya serait révélateur de ce malaise.

En sus, le fait que l’élément de la garde républicaine brutalisé par la garde de Kabund soit commis à la sécurité d’un « membre de famille » du Chef de l’Etat a été un coup du destin, du diable peut-être qui sait. Puisque la goutte d’eau a été de trop, la vase a débordé et le maître-nageur a été mouillé dans son dernier retranchement : sa résidence officielle.

Le spectacle digne d’un film d’action hollywoodien vécu mérite du Kinois lambda le chant :  » Satan kotela bango, ba bunda « .

Fables dignes de la Fontaine ou propos mesurés, cette lecture des choses mise en musique avec la longue série de scandales connus publiquement ou pas des nouveaux roitelets du régime pousse à se demander si la Fatshisphère n’est pas devenue une cour du roi Pétaud, milieu où chacun veut commander, où règne une forme de cacophonie ! Évidence : les signaux inquiétants lancés par le clash Kabund-GR et ceux d’avant poussent sérieusement à l’interrogation surtout en cette quatrième année du mandat du Président Félix Tshisekedi. 2023 c’est demain.

Par Danny NGUBAA N

  • Bendélé Ekweya té

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