Postes de l’opposition au Bureau de la CENI : Me Constant Mutamba et la DPR du FCC officiellement preneurs !

Dans son article « Postes de l’opposition au Bureau de la CENI : Constant Mutamba et compagnie prennent la main », Scooprdc.net prédisait déjà l’intéressement de la Dynamique Progressiste et Révolutionnaire (DPR) du Front Commun pour la Congo (FCC) à occuper les trois postes réservés à l’opposition au bureau de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).

Non sans raison, car déjà le média en ligne expliquait qu’en politique « approcher pour s’imprégner des dispositions pratiques », phrase contenue dans le communiqué du 04 décembre dernier de la DPR au sein du FCC, traduisait sans nul doute l’intéressement  dans le chef de celui qui s’approche pour éventuellement des négociations.  

Aujourd’hui et ce sans ambages, la Dynamique Progressiste Révolutionnaire du FCC, courant politique au sein du FCC, annonce officiellement la transmission, ce vendredi 10 décembre, de la liste de ses trois candidats pour occuper ces postes de l’opposition au bureau de la CENI.

Dans un communiqué rendu public, mercredi 08 décembre dans la soirée, Me Constant Mutamba dit « crocodile de Lubao », l’un des porte-paroles de la DPR, mentionne que cet acte républicain de haute portée patriotique permettra de lever définitivement l’obstacle qui corrode jusqu’ici le processus de mise en place complète de nouveaux animateurs de la CENI.

Par ailleurs, la DPR du FCC fustige l’hypocrisie des caciques du FCC qui hier déclaraient ne pas être concernés par le bureau de la CENI dirigé par Denis Kadima, mais aujourd’hui peaufinent des candidatures individuelles à ces postes pourtant rejetés au sein de la centrale électorale, à déposer discrètement, hypocritement et malicieusement au bureau de l’Assemblée nationale. Pratique que le « crocodile de Lubao » et compagnie conseillent la Chambre basse du Parlement à décourager. La DPR du FCC promet de révéler incessamment les noms de tous ces « tricheurs » de l’autre camp dirigé par Raymond Tshibanda. De la bonne guerre politique !

  • Bendélé Ekweya té

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