La sextape des élèves du collège Saint Georges de Kintambo, balancée sur les réseaux sociaux le dernier des épreuves de l’examen d’Etat, s’est avérée pas des élèves finalistes, mais plutôt des classes inférieures.
Dans ces vidéos immorales, deux filles sont en vedette pour le fait qu’elles se font pistonner comme des adultes, anciennes de Saio. Mais celle que l’on voit piper ou sucer le sexe d’un gars, n’est qu’une fillette de 15 ans, de 3ième année secondaire, habitant l’avenue Boboliko, non loin de celle du Département militaire de renseignements (DRM, ex-Demiap) à Kintambo. Selon les témoignages faits à Scoop.net dans le quartier, cette petite fille est, malgré son âge adolescent, d’une moralité pas catholique. Socialement, révèle-t-on au média en ligne, elle n’a rien de petite fille en elle au regard de sa conduite caractérisée par une intensité d’activités sexuelles.
Le scandale par elle créé à travers la sextape virale sur les réseaux sociaux a contraint sa famille couverte d’opprobre, à la déplacer du quartier. Où l’a-t-on amenée ? Scooprdc.net investigue encore. Mais seulement cette fille qui, dit-on fille, est kasaienne, ne reflète nullement les coutumes presque juives connues de sa province. Faute de parents ? La kinoiserie ? Rébellion à l’éducation ? Crise de puberté ? Peut-être un cocktail sociétal de tout ça.
