Journée mondiale de l’environnement : La FOGEKA plus déterminée que jamais à reboiser la ville de Kinshasa

Le monde entier a célébré ce samedi 5 juin, la journée mondiale de l’environnement. En République Démocratique du Congo, la Force du Génie Kongolais pour l’Avenir (FOGEKA), s’engage à reboiser sur fonds propres, 14 des 26 communes de la capitale Kinshasa. Il est prévu à cet effet la plantation de 1400 arbres, à raison de 100 arbres par commune retenue.  Toujours en marge de cette célébration, 2000 arbres seront plantés dans la province du Kwilu pour lutter contre les érosions qui menacent cette partie de la République.

Il y a lieu de noter que depuis un certain temps, cette association sans but lucratif, s’illustre par les actions de grande envergure  dans le cadre des objectifs qu’elle s’est assignée, entre autres la protection de l’environnement. Comme nul ne l’ignore, depuis près d’un siècle,  les écologistes ont lancé un cri d’alarme annonçant la menace de destruction dont fait l’objet notre planète, notamment par le réchauffement climatique dû entre autres à l’émission des gaz à effets de serre et au déboisement à grande échelle.

Cette situation engendre une cohorte de phénomènes naturels loufoques ainsi que des catastrophes naturelles dont le tsunami, la désertification, la résurgence des certaines maladies… Ainsi, parmi les solutions proposées pour sauver la planète, on parle du développement durable. il s’agit de concilier le progrès avec la conservation de la nature. A la FOGEKA on a compris la donne et pris conscience de cette menace pour la République Démocratique du Congo. 

Ainsi, après l’opération de salubrité lancée dans les communes de Barumbu et de Kinshasa,  le président Jean-Pierre Kande et ses collaborateurs se sont lancés au reboisement. C’est ici l’occasion de lancer un appel au ministère de l’Environnement et aux organisations  internationales  de protection de l’environnement de tourner leur regard vers ce partenaire déjà en action, qu’est la FOGEKA, dont l’activisme dans le domaine de protection de la nature n’est plus à  démontrer.

  • Bendélé Ekweya té

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