Faux procès d’intention à Modeste Bahati : «Il n’a jamais menacé de démissionner de son poste», réplique sa cellule de communication

Depuis le weekend passé, la toile est inondée par les articles de presse annonçant la menace qu’aurait proférée le Professeur Bahati Lukwebo, nouvellement élu président du sénat, de démissionner de ce poste au cas où ses délégués ne seraient pas maintenus au gouvernement Sama Lukonde selon le quota obtenu par l’AFDC-A, son regroupement politique. Professionnalisme oblige, Scooprdc.net est entré, ce mardi 9 mars, en contact avec le service de communication de ce dernier pour vérifier cette information qui se partage comme de petits pains sur les réseaux sociaux.  

«Ni de près, ni de loin. Le président de la chambre haute du Parlement congolais n’a jamais menacé de démissionner de ses fonctions. Ses détracteurs ont vraisemblablement manqué la bonne occasion de chercher des poux sur la tête du chauve. C’est faux. Ces informations distillées par nos ennemis», répond à Scooprdc.net, Gianni Mukelenge, proche collaborateur de Modeste Bahati qui fait remarquer qu’à quelques jours de la publication de la prochaine équipe gouvernementale, des officines obscures non autrement identifiées ont multiplié une campagne de diabolisation et d’intoxication contre la modeste personne du Professeur Bahati Lukwebo, président statutaire du regroupement politique Alliance des forces démocratiques et alliés, AFDC-A. Pour lui,  les détracteurs du nouveau président de la chambre basse du Parlement lui font à tort le procès d’intention.

Gianni Mukelenge ajoute que le Professeur Modeste Bahati Lukwebo est concentré à travailler résolument pour redorer l’image de cette deuxième institution du pays dont il a la charge, en vue d’aider le chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, à concrétiser sa vision pour l’intérêt du peuple congolais. «Nul n’ignore le travail qu’il a abattu pour que l’union sacrée prenne corps», le félicite-t-il en renchérissant qu’en tout état de cause, « ces détracteurs se sont trompés de cible », tout en regrettant la bassesse de certains milieux politiques qui, contre toute attente, continuent à faire recours aux vieilles méthodes politiciennes pour salir les protagonistes politiques, et ainsi prétendre gagner la confiance des décideurs. «Cette époque-là est révolue, dans tous les cas, qu’on se le tienne pour dit», prévient-il.

  • Bendélé Ekweya té

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