Piètre prestation de Gilbert Kankonde sur TV5 : la honte pour la RDC !

Reçu au journal Afrique sur TV5, le mercredi 6 octobre dernier, le vice-premier ministre et ministre de l’intérieur congolais Gilbert Kankonde Malamba, a jeté de l’opprobre sur toute une nation par son incapacité à répondre intelligiblement aux questions de la journaliste qui, pourtant n’était pas coriace.

Tout téléspectateur congolais qui a suivi cet invité de TV5, s’est vu le visage couvert de honte, car en effet, le ministre RD Congolais de l’intérieur était visiblement mal à l’aise, balbutiant, perdant régulièrement l’usage des mots, la syntaxe, la grammaire et tout le reste. Insuffisant dans ses réponses par manque d’arguments ou d’informations. Bref, c’est un Kankonde méconnaissable, pour ne pas dire piètre. Non sans raison , car à un moment on l’a vu rester bouche bée jusqu’à soupirer, manifestement pour dire à la journaliste qu’il était fatigué de ses questions.

Le passage de Gilbert Kankonde sur cette chaîne internationale a fait les choux gras de rédaction depuis l’Europe jusqu’en RDC. Certains internautes n’ont pas hésité à comparer le passage du ministre à cette télé, à celui d’un certain artiste peintre « Cher Cherin ». Tremblotant comme un élève ou étudiant mal préparé devant un examen, Gilbert Kankonde a commis de fautes graves de Français alors qu’il a habité l’Europe depuis longtemps et qu’il ne parlait que cette langue. On l’a entendu dire par exemple : «…il y a du chemin qui se font…».

Et pourtant, le ministre a tout un cabinet composé de conseillers. Il a un service de communication qui pouvait au préalable prendre contact avec la rédaction de TV5 pour solliciter le questionnaire et préparer des réponses. Ça aurait évité cette honte d’État. Dommage, les Congolais n’ont qu’à avaler cette pilule bien qu’amère en regrettant bien sûr que toutes les années que Gilbert Kankonde a passées en Belgique ne lui aient pas du tout aidé, ne serait ce que pour bien concevoir et exprimer ses idées. Bon, allons seulement, que voulez-vous encore !

  • Bendélé Ekweya té

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