Dans une déclaration solennelle, ce mercredi 18 février, les véritables représentants des agents du Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) syndiqués au sein de la CDT, l’UNTC et CSC, sont monté au créneau pour dénoncer une fois de plus la campagne gratuite de diabolisation contre le comité de gestion du FPI, mais particulièrement du DG Patrice Kitebi par des personnes nébuleuses, se faisant passer pour un collectif des agents et cadres du FPI dans les réseaux sociaux et dont la dernière oeuvre de sape est la correspondance adressée au Procureur général concernant l’intervention du FPI dans le programme de 100 jours du président de la république .
« Nous, Permanents et Délégués Syndicaux, Représentant les agents et cadres du FPI, sommes surpris de constater que depuis un certain temps, un individu ou un groupe d’individus se passant pour Le collectif des Agents et Cadres du FPI, s’arroge le pouvoir de parler, sans mandat ni qualité, des problèmes socioprofessionnels de ceux-ci et de dénoncer, toujours au nom des agents et cadres du FPI, des faits qu’il prétend constitutifs de pillage systématique des recettes de la Taxe de Promotion de l’Industrie auprès des autorités et de tous ceux qui veulent l’entendre », lit-on dans cette déclaration signée par Guillaume Beya, Yves Tshibangu et Fulumeya qui précisent qu’au sein du FPI, il existe une délégation syndicale issue des élections sociales édition 2018–2021, organisées en bonne et due forme.
Ils rappellent selon les dispositions de l’arrêté ministériel n° 048/CAB/VPM/METPS/2015 du 8 octobre 2015 que la représentation des travailleurs dans les entreprises et établissements de toute nature est assurée par une délégation élue. Et que ses membres sont encadrés,, formés et suivis dans leurs activités syndicales au sein de l’Entreprise par leurs organisations professionnelles respectives ; ce dont le FPI ne s’est pas dérogé.. En plus de la Délégation Syndicale, au FPI,, il y a un Comité Syndical des Cadres Supérieurs et de Direction qui prend en charge leurs revendications spécifiques.
« Malgré tous ces deux organes, nous voyons apparaître par des écrits Le collectif des Agents et Cadres du FPI, un organe dont personne n‘arrive à identifier ni la nature, ni les acteurs, moins encore le siège, qui émet des correspondances à l‘adresse des autorités ; à travers les médias et les réseaux sociaux pour dénoncer des faits au nom des agents et cadres du FPI. Il dit être constitué des salariés du FPI, mais lesquels ? Car il n’assume pas ses actes : tous les documents qu’il émet sont sans date ni signature ; mais il utilise l’en-tête du FPI. Quant à nous Partie syndicale FPI, nous ne nous reconnaissons pas dans sa démarche d’autant plus que nous prenons en charge les revendications de tous les agents et cadres; nous connaissons les canaux officiels pour faire aboutir ces revendications ; nous nous assumons de nos actes en signant nos documents ; nous sommes connus et tout le monde sait nous localiser », déclare le banc syndical officiel du FPI.
Par cette énième mise au point du véritable banc syndical du FPI, les nébuleux détracteurs de Patrice Kitebi dont le chef de file s’identifie sur WhatsApp par 229022 et utilise le 0999533169, sont totalement confondus dans leur campagne visant à distraire les autorités et même à discréditer le Fonds auprès de l’opinion publique tant nationale qu’internationale. L’équivoque est ainsi levée !