« Nous demandons à la Corporation de ne réserver aucun égard au communiqué signé par TABASENGE et KAMBERE, parce que dépourvus de qualité à engager la commission de la carte d’identité professionnelle », c’est l’avertissement contenu dans un communiqué de presse signé ce mercredi 22 janvier par Richard-Junior Kamunga et Jean-Marie Basa Ndjankolo, respectivement vice-président et secrétaire rapporteur de la Commission de Carte d’identité professionnelle, contre un faux communiqué publié par un journaliste sur sa page Facebook.
« La Commission de la carte d’identité professionnelle de l’Union Nationale de la Presse du Congo tient à fixer l’opinion de toute la corporation qu’au terme du chapitre V, article 36 des statuts de l’UNPC, elle est la seule habilitée à émettre la carte d’identité professionnelle en vigueur en République Démocratique du Congo pour le compte de l’UNPC », martèle le communiqué de Kamunga et Basa.
Il faut souligner que le journaliste qui a posté le faux communiqué sur sa page facebook, connu toujours comme fauteur des troubles, tout comme ses deux complices qui ont signé le faux communique, ainsi que d’autres talibans de la presse qui combattent par jalousie et haine le président de l’Union Nationale de la Presse du Congo, Joseph-Boucard Kasonga Tshilunde, sont malheureusement tous des journalistes ménopausés, émérites et très improductifs.
Le journaliste largueur du faux communiqué sur sa page Facebook dans le seul but d’arnaquer les professionnels des médias à travers cette opération de renouvellement de la carte de presse, a un canard qui ne l’est resté que de nom. Un hebdomadaire qui ne paraît plus depuis plusieurs années et lui-même ne se souvient même pas à quand date son dernier article publié ! Le vieux Tabasenge (vice-président de l’UNPC), Benoît Kambere (Secrétaire général), Walter Mukendi (président de la commission de discipline) et Kabongo Kadila Nzevu s’accrochent à une profession qu’ils n’exercent pas en réalité. Un journaliste est un producteur d’informations. Mais tous les précités ont cessé de produire pour la plupart, depuis plus d’une décennie. En quoi sont-ils encore journalistes ?
Aux journalistes pratiquants et véritablement ayant-droits de l’UNPC, le président Kasonga Tshilunde prie de ne pas se laisser abuser par ces faussaires qui seront mis hors d’état de nuire très bientôt, comme le mentionne-t-il dans sa note circulaire du 20 janvier adressée à tous les présidents sectionnaires de l’UNPC, et dont copie est parvenue à Scooprdc.net.
Ginno Lungabu.