Eclaboussure politique contre Bruno Tshibala : première intox de janvier 2020 en vue de le placer en faux en face de Fatshi

Depuis quelques temps et pour des raisons inavouées, une machine monstrueuse, sortant à dessein des contextes de son interview accordée à Jeune Afrique, s’évertue à pourfendre Bruno Tshibala jusqu’à tenter, non seulement de  dénaturer ses propos, mais pire, de lui en attribuer d’autres dont la capture ci-dessous :

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En vue d’élucider la question et d’apporter des éclaircissements appropriés, encore une fois de plus,  par souci d’objectivité et de devoir, la responsabilité de recadrer certaines insinuations malveillantes nous incombe, écrit l’un ce ses proches qui s’est confié à Scooprdc.net. Ce proche de Brutshi donne des précisions ci-après :

  • Bruno Tshibala n’a jamais quitté l’UDPS;
  • Porte-parole du Rassemblement issu des actes de Genval/Bruxelles, la mise sur pieds du Rassemblement dit ironiquement de Kasavubu était un acte politique indispensable pour sauver le navire Rassemblement/Genval dont on vidait de sa substance et qui était en passe d’être gangrené par les transfuges notoirement connus du système du pouvoir : ultime acte politique de bravoure pour sauver la baraque en plein chavirage;

  • Il est arrivé à la primature à la faveur des Accords de la Saint-Sylvestre de décembre 2016 modérés par la Cenco ;

  • Sa prestation à la primature, dénuée de toute conflictualité au sommet de l’Etat et dans une abnégation insolite, mue par l’intérêt supérieur de la nation et, situation inédite, a organisé des élections générales. Qui l’eût cru sur fonds propres du gouvernement ?

Ensemble avec le président de la république honoraire Joseph Kabila Kabange et la CENI (Commission Électorale Nationale Indépendante), qui ont abouti à la  passation pacifique du pouvoir dans une galanterie historique entre le président de la république honoraire Joseph  Kabila Kabange et l’actuel président de la république Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Comme Jean Baptiste de la bible pour Jésus, Bruno Tshibala incarne le rôle de précurseur dans cette alternance politique.

  • Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo est arrivé à la présidence de la république à la faveur des élections présidentielles, fruit de l’abnégation de ces deux hommes au sommet de l’Etat, Kabila et Tshibala.
  • Chacun des deux fils UDPS a joué sa partition pour éviter au pays l’hécatombe que l’on craignait de Mobutu à Kabila ainsi que le spectre d’apocalypse now.

  • Il est évident que les deux, n’en déplaise aux maîtres enchanteurs et aux ignares  habituels et, sans occulter la facilitation appréciable et non moins négligeable de Joseph Kabila Kabange, sont en passe de concrétiser les vœux des pères fondateurs de ce parti dont ceux d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, bien que l’idéal ne soit pas encore totalement atteint : le rêve d’un grand  Congo dont le peuple libéré de la tyrannie d’un homme ou d’un groupe d’hommes, un grand Congo des cœurs pacifiés, libéré aussi des frustrations, des peurs, des préjugés, des rancœurs, des haines et de la faim mais aussi résolument engagé dans la réalisation du progrès  social de tous.

Bref, le décor est d’ores et déjà  planté. L’évidence est que même Rome n’a pas été construite en un jour. Retenons, encore en guise de conclusion, que le FCC n’est pas  l’AMP. Sa création a été motivée par le souci de sauvegarder les intérêts supérieurs de la Nation menacés par la complicité des nègres de service et la jonction du CACH au FCC pour une grande coalition, a répondu à cette même logique.

Une certaine dépendance tout comme une certaine longueur d’avance insinuée, sont les fruits de l’imagination fertile de la loge des pêcheurs en eaux troubles.

Mukolo.

Correspondance particulière

  • Bendélé Ekweya té

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