Rolly Lelo Nzazi au FP-CIRGL : « Sans les finances, toute organisation est condamnée à la léthargie voire à une disparition »

Il s’est ouvert ce mercredi 02 octobre 2019 à Pullman Hôtel de Kinshasa, le Forum des Parlements des Etats membres de la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (FP-CIRGL). Ces assises de deux jours et auxquelles participent les députés et sénateurs des pays membres de cette organisation sous-régionale, ont été ouvertes par le questeur adjoint du Sénat RDCongolais, Rolly Lelo Nzazi.

Il s’agit dans les travaux de la Commission ad hoc des finances du FP-CIRGL de matérialiser la recommandation de la première réunion de cette commission ad hoc tenue en mai dernier à Kampala, en Ouganda. Elles devront se consacrer d’abord sur l’approbation du projet de résolution sur le paiement des contributions annuelles et, des arriérés avant son examen par l’Assemblée plénière prévue en décembre prochain à Bujumbura.

Ensuite, les participants vont se pencher sur l’examen du projet de budget du Forum pour l’exercice 2020- 2021. Et enfin il y aura l’examen du rapport financier de l’exercice 2019 pour la  période de janvier à septembre. Ainsi, à l’issue des travaux de la Commission ad hoc, le Forum attend, d’une part, approuver l’avant-projet desdites résolutions et, d’autre part, approuver le projet du budget d’exercice 2020-2021 et le rapport financier 2019.

Pour le questeur adjoint du Sénat RDCongolais, sans les finances, toute Organisation est condamnée à la léthargie voire à une disparition certaine. C’est dans cet ordre d’idées que Rolly Lelo Nzazi invite, à travers les délégués présents à Pullman Hôtel de Kinshasa, tous les Gouvernements des pays membres dont les parlements sont membres dudit Forum, de s’acquitter régulièrement de leurs contributions, car la survie de cette organisation qui les rassemble depuis 2008, en dépend.

En même temps, Rolly Lelo Nzazi estime que les ressources, même suffisantes, ne valent rien si elles ne sont pas bien canalisées, bien gérées et contrôlées. D’où pour lui l’importance de cette Commission ad hoc des finances qu’il a saluée vivement.

Owandi.

  • Bendélé Ekweya té

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