ESU : fausse alerte, il n’y a pas de tension à l’ISC/Lubumbashi !

Pendant que la situation est calme à l’Institut Supérieur de Commerce à Lubumbashi, certaines personnes voudraient créer une tension au sein de cet établissement. Elles font croire, non seulement qu’il y aurait achat obligatoire des syllabus de tous les cours, mais aussi des fiches à 7500FC pour chaque TP ou interrogation raté(e). Imposition d’achat, selon elles, qui susciterait déjà une tension qui n’attend que l’explosion. Des allégations vite démenties ce samedi 23 février par le directeur général de l’ISC/Lubumbashi.

D’après le professeur Armard Kabange la discipline par lui imposée, exposerait tout contrevenant aux instructions relatives à l’interdiction de vente des notes de cours et des syllabus à des sanctions sévères. « Ne sont privilégiés et autorisés que les frais réels et nécessaires pour les études », précise-t-il en brandissant une circulaire adressée à tous les enseignants de son établissement. « Donc, il n’y a aucune raison d’une éventuelle marche des étudiants comme le fait circuler une certaine rumeur », déclare le DG de l’ISC/Lubumbashi qui estime que c’est œuvre de personnes hostiles à sa bonne gouvernance et aux travaux de modernisation de l’institution.

« Des moyens ont été mobilisés, des efforts consentis. Les nouveaux auditoires que nous sommes en train de construire, vont permettre à l’ISC de faire évoluer chaque section dans ses propres locaux. Ainsi donc, les Ressources Humaines, la Douane, les Sciences Commerciales et Financières, la Compatibilité ainsi que le Secrétariat de direction vont devoir disposer des auditoires propres », confie le professeur Armand Kabange à la presse.

Il promet d’ici là, l’inauguration du nouveau bâtiment administratif en étage abritant 25 bureaux. Le comité de gestion, le corps professoral et le personnel administratif vont ainsi travailler dans de bonnes conditions dans ce bâtiment. Quant aux auditoires, les travaux de construction évoluent sans problème.

CT

Correspondance particulière

  • Bendélé Ekweya té

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