Présidentielle 2018 : « J’aime le Congo, nous aimons le Congo », titre du programme quinquennal de Vital Kamerhe

Candidat Président de la République, Vital Kamerhe a rendu public, ce vendredi 28 septembre au Centre Interdiocésain à Kinshasa, son programme de gouvernement.  Basé sur 20 piliers fondamentaux qui concernent tous les secteurs importants de la vie nationale parmi lesquels l’éducation, la santé, l’énergie, l’environnement, l’agriculture, la culture…, ce programme s’étend sur la période de cinq ans. Les budgets qui lui permettra d’atteindre toutes ces projections se chiffrent à un total de 114 milliards de dollars américains sur cinq ans, repartis ainsi : 11 milliards la première année, 16 milliards la deuxième, 20 milliards la troisième, 26 milliards la quatrième année et 41 milliards la cinquième année.

Partant du diagnostic aux solutions, le Président de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), et candidat à la prochaine présidentielle a, au cours de son allocution dans une salle pleine comme un œuf,  expliqué pilier par pilier, cela pendant une période de près de deux heures. Posant le diagnostic, Kamerhe  relève que « le Congo souffre d’un grand problème de manque du leadership, qui lui attire tous les maux dont il souffre aujourd’hui, notamment le chômage, le taux de déscolarisation très élevé, le manque des soins de qualité, le manque d’infrastructures, etc. »

Au chapitre des solutions, Kamerhe a promis, qu’une fois élu, il travaillera durant tout son mandat pour mettre en place un leadership visionneur et spirituel au service du peuple, de la nation, de l’Afrique et du monde ; assurer le bon fonctionnement des institutions de l’Etat en observant strictement le principe de séparation de pouvoir et rétablir l’autorité de l’Etat ; mettre en place une armée puissante et professionnelle ;  construire et équiper les écoles et les hôpitaux,  améliorer les conditions salariales du personnel soignant, des enseignants, et des journalistes travaillant à la chaîne nationale…

Daniel-Curie Mamba

  • Bendélé Ekweya té

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